8. Quand Biron voulut danser, Son violon, Son basson, Son épée etc. Dass derartige Lieder oft ziemlich alt sind, ersieht man bisweilen aus Zufälligkeiten. So ist eine beliebte Ronde l'Avoine benannt. Sie beginnt mit folgenden zwei Versen, welche vom ganzen Chor gesungen werden: Avoine, avoine, avoine, Que le bon dieu t'amène! Man ersieht aus dem entsprechenden Reime amène, dass sie bis zu einer Zeit zurücksteigt, wo man noch av eine aussprach. Doch was die Handlung in derselben anbetrifft, so steht eine kleine demoiselle im Kreise, und macht alle Gesten des Säens vor, die dann von ihren Gespielinnen nachgemacht werden. Sie singt also nach dem Eingangschor: Qui veut savoir Et qui veut voir Comment on sème l'avoine? Mon pèr' la semait ainsi, Puis il se reposait ainsi. Nachdem alsdann der ganze Chor wieder sein Avoine etc. angestimmt, wird die Handlung folgendermassen fortgesetzt. Qui veut savoir Mon pèr' la coupait ainsi, Puis il se reposait ainsi. Avoine etc. Qui veut savoir Et qui veut voir Comment on doit battre l'avoine? Mon pèr' la battait ainsi, Puis il se reposait ainsi. Avoine etc. Qui veut savoir Et qui veut voir Comment on vanne l'avoine? Mon pèr' la vannait ainsi, Puis il se reposait ainsi. Avoine, avoine, avoine, Que le bon Dieu t'amène! Da es nicht in meiner Absicht liegt, eine erschöpfende Abhandlung über die Kinderronden zu liefern, so verweise ich nochmals auf das hübsche Büchelchen der Madame de Chabreul, welche von S. 105 an noch folgende Ronden mit den dazu gehörigen Melodien mittheilt: La boulangère; le laurier de France; il était une bergère; giroflé girofla; le ciel et l'enfer (doch diese ohne Musik); la tour: prenons garde! von der marquise de Prie; ah! mon beau château; gentil coquelicot; la mère Bontemps; Guilleri; le chevalier du guet; le pont d'Avignon; savez-vous planter des choux? la mistenlaire; ramène tes moutons, bergère; j'aimerai qui m'aime; la bonne aventure; la Marguerite; meunier, tu dors; la vieille; mon père m'a donné un mari*); *) Ihres scherzhaften Inhalts wegen will ich noch diese Ronde mittheilen. Sie lautet: Mon pèr' m'a donné un mari, Mon dieu! quel homm'! quel petit homme! Mon pèr' m'a donné un mari, Mon dieu! quel homm'! qu'il est petit! 2. Je le perdis dans mon grand lit, Mon dieu etc. Je le perdis etc. Mon dieu etc. 3. J' pris la chandelle et le cherchis. 4. A la paillasse le feu prit. Archiv f. n. Sprachen. XXXI. riche et pauvre; le rat de ville et le rat des champs von La Fontaine, und schliesslich die chanson de la mariée, auf die ich späterhin noch einmal zurückkommen werde. Doch wäre selbst bei dieser reichen Auswahl noch Manches nachzutragen, was vielleicht absichtlich weggelassen worden ist. So ist folgende Ronde allerliebst, welche Gérard de Nerval mittheilt und die offenbar in die Zeit der Regentschaft gehört: Et puis il leur a donné Bague à Dine cet. Diamant à la Dumaine. Puis il les mena souper, Diamant (?) à la Dumaine. Puis il leur fallut coucher. Bon lit à la Dumaine, Puis il les a renvoyées. Garde la Dumaine. Angedeutet hat er auch folgende: Les canards dans la rivière cet., ich habe aber den Text nicht ausfindig machen können, ebensowenig als von dem Refrain Trois filles dedans un pré... Mon coeur vole, Mon coeur vole à votre gré!, zu welchem offenbar folgende zwei couplets eines sentimentalen*) Schäferliedes gehören: Au jardin de mon père Vole, mon coeur, vole! Trois belles princesses, Sont couchées dessous. *) Weniger träumerisch singt ein anderer Hirt: Ah! qu'il fait donc bon Garder les vaches, Quand on est deux. Quand on est quatre, Vollständig kann ich noch folgende Ronde geben, welche ich oftmals in der Touraine habe singen hören: J'ai cueilli la belle rose Dans mon beau tablier blanc, Belle rose, dans mon beau tablier blanc, Je suis parti de chez mon père, De chez mon père à Rouen, Belle rose, de chez mon père à Rouen, Je n'ai trouvé personne, Il m'a demandé: La belle, Je ne gagne pas grand'chose, Venez avec moi, la belle, Je vous en donnerai z'autant cet. Vous coucherez avec ma mêre, Je ne couche pas avec les hommes, Dedans le choeur de l'église Devant dieu et tous mes parents cet. Doch ich will diese Gattung beschliessen mit einem Citat aus dem marquis de Ville mer der Mme G. Sand (Revue d. d. mondes t. 28 p. 525). Die berühmte Schriftstellerin sagt: „Un paysan qui marchait devant moi s'est mis à chanter. Ces paroles sans rime ni raison m'ont semblé si curieuses que je veux te les dire: Hélas, que les rochers sont durs! Le soleil ne les fend pas, Le soleil ni même la lune! |