| 1806 - 584 ページ
...soufre qui annonçoit leur approcha , mirent tout le monde en fuite. Il se lève appuyé sur dèux valets , et dans le moment tombe mort. Je m'imagine...épaisse le suffoqua d'autant plus aisément , qu'il avoit la poitrine foible , et étroite , et souvent la respiration embarrassée. Lorsque l'on commença... | |
| Charles Rollin - 1822 - 542 ページ
...grandes, et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent tout le monde en fuite. Pline se lève, appuyé sur deux valets , et dans le moment tombe mort , suffoqué apparemment par l'épaisseur de la fumée. Telle fut la fin du savant Pline. On ne peut... | |
| 1826 - 522 ページ
...plus grandes , et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent le monde en fuite. Pline se lève appuyé sur deux valets, et dans le moment tombe mort, suffoqué apparemment par l'épaisseur de la fumée. Telle fut la fin du savant Pline. On ne peut savoir... | |
| Domenico Romanelli - 1829 - 376 ページ
...grandes , et une odeur de a soufre qui annonçait leur approche , mirent » tout le monde en fuite. Il se lève , appuyé » sur deux valets, et, dans le...moment, tombe » mort. Je m'imagine qu'une fumée trop épaissç •» le suffoqua d'autant plus aisément, qu'il avait » la poitrine faible et étroite... | |
| Henri-Sébastien Le Hon - 1845 - 300 ページ
...qui parurent, et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent tout le monde en fuite. Il se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment...Lorsque l'on commença à revoir la lumière (ce qui arriva trois jours après), on retrouva au même endroit son corps entier, couvert de la même robe... | |
| Louis Pierre F. Adolphe Chesnel de la Charbouclais (marq. de.) - 1849 - 746 ページ
...plus grandes, el une odeur de soufre qui annonçail leur approche, mirent tout le monde en fuite. Il se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment...m'imagine qu'une fumée trop épaisse le suffoqua d'autanl plus aisément, qu'il avait la poitrine faible et souvent la respiration embarrassée. «... | |
| Charles Rollin - 1849 - 454 ページ
...grandes , et une odeur de soufre qui annoncait leur approche, mirent tout le monde en fuite. Pline se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment tombe mort, suffoqué apparemment par l'épaisseur de la fumée. Telle fut la fin du savant Pline. On ne peut savoir... | |
| Mme Emile de Girardin - 1856 - 384 ページ
...plus grandes, et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent tout le monde en fuite. Il se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment...épaisse le suffoqua d'autant plus aisément qu'il avait lu poitrine faibie et spuveut embarrassée. Lorsque l'on commença à revoir la lumière (ce qui n'arriva... | |
| Delphine de Girardin, Mme Emile de Girardin - 1857 - 452 ページ
...plus grandes, et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent tout U monde eu fuite. Il se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment...d'autant plus aisément qu'il avait la poitrine faible ef souvent embarrassée. Lorsque l'on commença à revoir la lumière (ce qui n'arriva que trois jours... | |
| Delphine de Girardin, Mme Emile de Girardin - 1857 - 372 ページ
...plus grandes, et une odeur de soufre qui annonçait leur approche, mirent tout le monde en fuite. Il se lève, appuyé sur deux valets, et dans le moment tombe mort. Je m'imagine qu'une fumée frop épaisse le suffoqua d'autant plus aisément qu'il avait la poitrine faible et souvent embarrassée.... | |
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