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Au même, pour le remercier d'avoir scellé lesdites lettres et gratis;

176 A M. le cardinal Mazarin, pour le remercier des premiers effets de sa protection et lui présenter deux tableaux;

177

A M. le chancelier, id., et pour lui présenter un tableau ;

177

Au même, pour le remercier d'avoir obtenu le logement de l'atelier de Dubourg, et lui présenter quatre basreliefs;

A M. Ratabon, aux mêmes fins;

*13

*14

A M. le chancelier, pour apprendre ses intentions touchant la destination de la place de vice-protecteur; *44 et 48

A M. Colbert, pour le prier d'accepter cette place; *52 A M. Le Brun, pour lui reporter les sceaux de l'Acadé― mie;

*69 A M. Colbert, l'Académie en corps, pour le saluer comme vice-protecteur; *72 A M. le chancelier, comme protecteur de nouveau. *73 DE RIANTZ. Voyez Riantz.

DE SEVE (Gilbert), ou Seve, comme il est nommé le plus souvent. Voyez Seve.

DIRECTEUR de l'Académie. Jouit en cette qualité de l'exemp

tion de toute tutelle et curatelle, et de tout guet et garde, du Committimus.

185

M. Ratabon, reconnu en cette qualité, s'en met en possession.

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*55.

*94

Manége de sa part pour s'y faire continuer. Après sa mort, M. Le Brun en exerce les fonctions. La place de directeur déférée à M. Du Metz en considération des services signalés qu'il avait rendus à l'Académie; il en remercie modestement, et se contente de celle d'amateur.

*111

Nota. M. Le Brun la remplit depuis en même temps que

celle de chancelier de l'Académie, sous le titre de principal recteur. Par l'art. 9 des statuts de 1663, la place de directeur est déclarée annuelle, sauf continuation si l'Académie le juge à propos, et peut être remplie par telles personnes qu'elle voudra élire, c'est-à-dire qu'il n'est pas nécessaire que ce soit toujours par un homme d'art.

DON fait à l'Académie par M. le Chancelier d'une somme de 2,000 liv.

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Dox gratuit de quelques uns des principaux membres de l'Académie pour subvenir aux frais de l'enregistrement des lettres patentes de janvier 1655. DOUJAT (M.), conseiller à la grande chambre. DROITS de réception, qui, par l'art. 7 de ceux de la jonction, étoient arbitraires, sont limités à 200 fr. par l'arrêt d'enregistrement de ces articles.

128

Fixation illicite de ce droit par la cabale de la maîtrise.

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Annulée par l'Académie, et ses auteurs interdits. DROITS des provisions d'académicien, fixés à la naissance de l'Académie à deux pistoles.

DU FRESNOY (Charles-Alphonse), est recherché obligeamment par M. Le Brun pour s'unir au corps académique.

*101 Répond à cette politesse par un refus très incivil concerté avec M. Mignard. *103 DU GUERNIER (Louis), s'écrit quelquefois Du Garnier; mais c'est Du Guernier : l'un des membres de l'Académie qui ratifièrent les premiers les articles de la jonction,

100

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Et l'un des douze professeurs premiers élus à la restauration de 1655. DU METZ (Gédéon), premier commis de M. Colbert. La discussion du détail des règlements qui doivent fonder la grande restauration lui est confiée.

*75

Il arrange avec M. Le Brun l'établissement des Gobe

lins,

*76 Et s'instruit avec lui à fond de tout ce qui concerne celui de l'Académie;

*76 En retravaille le plan à diverses fois avec le même et avec MM. Errard et Testelin; *80 et 97 Leur inspire le dessein de consulter quelque habile praticien sur la forme judiciaire à donner à ce plan, *98 Et rend à l'Académie des services très considérables, et avec un zèle également ardent et pur, allant jusqu'à donner à ses dépens des prix de valeur notable aux jeunes étudiants, *110 Refusant en même temps la place de directeur, que la compagnie crut devoir lui déférer, et se réduisant poliment à celle de simple amateur.

E

*111

ÉCOLE académique. Considérée par l'Académie comme l'objet principal de son institution.

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M. Le Brun, premier ancien en exercice, dispose tout pour la tenir,

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Et en fait l'ouverture avec un grand concours.
L'exercice du modèle y est fait d'une manière admira-

42 et 47

ble. De plus, pour former la jeunesse au grand goût et à l'élégance du dessin de Raphael, l'on y expose les étu– des faites par M. Le Brun à Rome d'après les ouvrages de ce grand maître.

43

L'on y enseigne gratuitement la géométrie, l'anatomie et la perspective.

56 et 57

70

Difficultés de soutenir cette école faute de fonds. Contribution de 10 sols par semaine sur chaque étudiant,

non académicien ou non fils d'académicien, dessinant d'après le modèle, et autres moyens.

71

Désertion du plus grand nombre de ces étudiants; cessa

tion.

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L'Ecole relevée par les soins de M. Testelin l'aîné. Contribution établie pour la soutenir sur les deux corps de la jonction.

107

Les troubles continuels causés par la cabale des maîtres éloignent de nouveau un grand nombre d'académiciens; leur retraite supprime les dernières ressources de l'école; les modèles quittent faute de paie, et tout exercice cesse pour la seconde fois.

130 L'école est relevée de nouveau par le zèle généreux de quelques uns des principaux académiciens et avec plus d'éclat que jamais,

131

En se prévalant du raccordement des deux corps de la jonction.

140 M. Vignon, pour soutenir les exercices, prête une somme d'argent.

141

Nouveau dérangement de l'école, par contre-coup de celui de l'Académie même.

157

Exemples de sévérité pour y maintenir la bonne disci

160

166

pline. Fonds annuel de 1000 liv. accordé par le roi pour en assurer l'entretien, et faculté exclusive de la tenir donnée à l'Académie. Quoique fort resserrée dans son nouveau logement, elle y est cultivée et remise sur pied avec grand succès. Deux modèles.

Transférée dans une demeure plus spacieuse.

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*15

*27

Ses exercices y font des progrès étonnants. Elle fait un des premiers et des principaux objets de la grande restauration.

*77

Fonds faits par le roi pour les honoraires des professeurs de cette école, les appointements des modèles, le luminaire, le chauffage, les prix à distribuer aux étudiant.

*87

Le droit exclusif de tenir cette école confirmé par lettres

patentes.

*112

Les enfants des maîtres de la communauté y doivent être instruits gratuitement. *144 ÉCOLE des maîtres peintres et sculpteurs, dite de SaintLuc. Élevée contre l'école académique et pour la faire tomber, par l'instigation de M. Mignard,

Qui s'en fait déclarer le prince,

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Et fait jouer toutes sortes de machines pour la peupler des meilleurs sujets d'entre les élèves académiques. 77 Prix donné dans cette école par M. Bonneau, procureur du roi au châtelet.

79

Elle cesse par le retour des succès de l'école académi– que. Seconde tentative de M. Mignard pour la mettre en opposition avec celle-ci rejetée par le ministre, Et nonobstant ce poussée avec beaucoup d'éclat, Et de manége.

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*113

*115

Prohibée finalement par lettres patentes du mois de décembre 1663.

*144

ÉCOLE particulière prétendue académique érigée par le sieur Bosse. Supprimée presque aussitôt qu'érigée,

*81 et 82

Et les principaux tenants de cette école bannis de celle de l'Académie,

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*92

Mais reçus en grâce peu après. ÉCORCHÉ de Michel-Ange mis dans l'école académique pour instruire les jeunes étudiants dans l'anatomie. 57 EGMONT (Juste d'). L'un des premiers promoteurs de l'établissement de l'Académie avec MM. Sarrazin, Corneille et de Charmois,

24

36

Et l'un des douze anciens de la première élection. Fait présent à l'Académie du portrait de M. le duc d'Orléans.

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