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Est un des commissaires de l'Académie pour ratifier le contrat de la jonction, etc. ÉLÈVES académiques qui, après plusieurs années d'étude, ne seront jugés admissibles au rang d'académicien. Leur ⚫sort réglé par lettres patentes de décembre 1663, *112 Et par l'arrêt d'enregistrement de ces lettres du 14 mai 1664.

*142

L'une des clauses de cet arrêt astreint les académiciens à n'avoir chacun qu'un élève à la fois. *143 ELOIGNEMENT de l'Académie dans ses premiers jours pour toute correspondance avec la maîtrise, même jusqu'à l'apparence.

62 ENFANTS des maîtres de la communauté assujettis à une contribution de 10 sols par semaine.

71 En sont déclarés exempts et de toute autre par l'art. 3 de ceux de la jonction.

107 L'arrêt du parlement ci-dessus du 14 mai 1664 oblige les académiciens à les instruire gratuitement. *144 ENLÈVEMENT furtif des meubles de la chambre commune de la jonction, même de quelques effets appartenant en propre à l'Académie, fait par les jurés dans la vue d'engager avec elle un procès. Elle l'évite et se contente de constater le fait par une plainte. 190 ENREGISTREMENTS des titres constitutifs de l'Académie. Voyez Parlement, Chambre des comptes, Cour des aides.

ENSEIGNES et inscriptions pour annoncer la vente ou le

débit d'aucun ouvrage de peinture et de sculpture interdites à tout académicien sous peine de déchéance. 62 ÉPOQUES de l'histoire de l'Académie. Voyez Académie royale de peinture et de sculpture. ÉPURATION du corps académique dans les premiers jours

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de sa formation. ERRARD (Charles). L'un des premiers qui aient embrassé l'association académique,

Et l'un des douze anciens de la première élection.

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Se met à la tête des partisans de la pacification avec les maîtres, et devient un des premiers moteurs de la jonction.

85

Est un des trois députés nommés par l'Académie pour la conclure.

98

Est élu l'un des deux trésoriers de la bourse commune de la jonction. 106 Devient ensuite un des principaux instruments de la dissolution de cet arrangement.

188

162 Est élu l'un des quatre recteurs de la restauration de 1655. L'Académie lui confie la conduite des plans et devis pour les ajustements à faire dans son nouveau logement, et pourquoi.

*14 Il est chargé par l'Académie de celle des ouvrages dont, pour faire sa cour, elle décore l'hôtel de M. le chancelier.

*28

Se prête à M. Ratabon, son patron, pour dominer l'Académie,

Et pour cet effet en éloigner M. Le Brun.

*29

*30

Une concurrence de talent, terminée avec beaucoup de manége au désavantage du dernier, produit cet effet avec éclat.

*32

Pour parer aux inconvénients de cette retraite, cherche à donner un air de plus forte attention aux exercices de l'école,

*37

Et, pour s'affermir dans sa domination, à s'attirer les officiers académiques par des régals,

*38

Mais qu'il maîtrise bientôt après et sans aucun ménage

ment.

*39

Il s'applique aussi à dégoûter et à persécuter le secre

taire.

*40

La mort du cardinal Mazarin fournit une ouverture pour

le barrer.

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vain.

П travaille ouvertement à intimider l'Académie, pour l'asservir de nouveau à M. Ratabon, *60 Lequel s'efforce à lui faire remettre les sceaux, mais en *67 S'étant abstenu de fréquenter l'Académie depuis les approches de la grande restauration et la mort de M. Ratabon, M. Le Brun le recherche pour se le réconcilier et le rendre à l'Académie,

*96

*97

Laquelle il sert depuis fort utilement. Est nommé l'un des députés pour procurer au parlement l'enregistrement des statuts et lettres patentes de

1663. *133 ÉTABLISSEMENT de l'Académie et ses diverses formes jusqu'à celle fixée par la grande restauration de 1663. Seconde partie de cet ouvrage, divisée en trois époques; objet de chacune.

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ÉTAT de la peinture et de la sculpture en France avant le
quinzième siècle jusqu'à la fin du seizième ;
Depuis cette époque jusqu'à la fin du règne de Louis
XIII;

12

Au commencement du règne de Louis XIV jusqu'à l'établissement de l'Académie,

Et depuis cet établissement jusqu'en 1663.

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ÉTALAGES aux fenêtres, ou autrement au dehors, d'aucun ouvrage de peinture ou de sculpture, interdits à tout académicien, sous peine de déchéance. ÉTOFFER, pratique de l'ancienne peinture; en quoi consistoit.

ÉTUDES académiques. Voyez École académique.

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EVÊQUE (Le sieur l'), peintre privilégié. Voyez Bellot ou l'Évêque.

EVOCATION au roi et à son conseil de la connoissance de

tous procès et différends concernant les fonctions, ouvrages et exercices des membres de l'Académie. 44 EXEMPLES de sévérité, pour maintenir la discipline de l'é

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strat.

160 cole académique, soutenus par l'autorité du magi9 EXEMPTIONS accordées par nos rois aux gens d'art, avant l'établissement de l'Académie ;

Depuis cet établissement, de toutes tutelles et curatelles et de tout guet et garde, en faveur des dix-neuf officiers de l'Académie et des onze académiciens désignés par les lettres patentes de janvier 1655.

185

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Ces mêmes exemptions confirmées de nouveau et accordées à quarante académiciens au lieu de trente. Confirmation générale de toutes les exemptions accordées précédemment à l'Académie.

Exercice du modèle. Voyez École académique.

111

EXPÉRIENCE d'habileté pour être admis à l'Académie. Voyez Morceau d'expérience.

F

63 FERMENTATION dans l'Académie à l'occasion de la conduite de M. de Charmois,

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Calmée par l'établissement d'un secrétaire de la compa-
gnie.
FERMETE de l'Académie à se repeupler dignement dans
une occasion où M. Ratabon avoit entrepris de la por-
*8
ter à une indulgence d'une conséquence dangereu-

se.

FESTINS défendus par les statuts de l'Académie. Assemblée illicite d'une cabale de la maîtrise, laquelle impose un droit de 3 écus sur chaque récipiendaire, pour tenir lieu desdits festins retranchés; l'Académie casse cette imposition.

152

M. Errard, par un esprit d'intrigue, cherche à réintroduire
l'usage des festins.
FIGURES antiques, moulées sur les originaux, données par

*39

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M. Le Brun pour décorer la salle de l'Académie et pour l'étude des jeunes élèves. FONDS annuels accordés par le roi à l'Académie : Un de 1,000 liv. par brevet du 28 décembre 1654;

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Un de 4,000 liv. avec la distribution et l'application détaillée de ce fonds. *87 Quelques légers changements dans cette application, accordés de bonne grâce par les parties intéressées, pour le bien du service. FORMATION de l'Académie. La jurande attaque les priviléges des brevetaires du roi, et par une saisie faite sur deux d'entre eux,

*95

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Et par une requête au parlement qui les enveloppe tous en général,

19

Ne ménageant que M. Le Brun tout seul, qui n'en est pas moins occupé à mettre les arts à couvert de tant de vexations par l'établissement d'un corps académi⚫ que.

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M. de Charmois avec quelques autres travaille de son côté au même projet, 24

Et, pour le mettre à exécution, fait une requête au roi, laquelle il communique à M. Le Brun.

Tous deux de concert rallient tous les brevetaires,

Qui signent tous la requête.

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27

En même temps, M. de Charmois et M. Le Brun agissent auprès des puissances.

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La requête, présentée au conseil de régence, produit l'arrêt du 20 janvier 1648.

29

M. de La Vrillière, l'un des premiers bienfaiteurs de l'Académie,

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Après M. le chancelier, qui veut bien revoir les premiers statuts, sceller et publier au sceau les lettres patentes confirmatives.

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Premières assemblées de l'Académie, et ses premiers offi

ciers.

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