Les deux masques: Deuxième série: Les modernes: Shakespeare

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Calmann-Lévy, 1884 - 655 ページ
 

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401 ページ - Je ne puis vous dire l'excès de l'agrément de cette pièce : c'est une chose qui n'est pas aisée à représenter et qui ne sera jamais imitée ; c'est un rapport de la musique, des vers, des chants, des personnes, si parfait et si complet, qu'on n'y souhaite rien...
341 ページ - Il est du sang d'Hector ; mais il en est le reste; Et pour ce reste enfin j'ai moi-même, en un jour, Sacrifié mon sang, ma haine, et mon amour.
310 ページ - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais II ment quand il le dit, et ne le fut jamais. Est-il vice plus bas? est-il tache plus noire, Plus indigne d'un homme élevé pour la gloire?
198 ページ - Orientis partibus Adventavit Asinus; Pulcher et fortissimus, Sarcinis aptissimus. Hez, Sire Asnes, car chantez, Belle bouche rechignez, Vous aurez du foin assez, Et de l'avoine à plantez.
293 ページ - D'être plus redoutable et plus considéré; II approuva sa flamme et conclut l'hyménée; Et moi, comme à son lit je me vis destinée, Je donnai par devoir à son affection Tout ce que l'autre avait par inclination. Si tu peux en douter, juge-le par la crainte Dont en ce triste jour tu me vois l'âme atteinte.
567 ページ - Bibliophiles, tome page 96. fesses qui m'amusaient. Quand il m'aperçut : « Ah! bonjour, mon cher Piron! Que venez-vous faire à la Cour? J'y suis depuis trois semaines ; on y joua l'autre jour ma Marianne. On y jouera Zaïre : a quand Gustave?
323 ページ - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
547 ページ - Un jour, il me dit en confidence qu'il n'avait pas encore achevé la lecture des tragédies de son père, mais que cela viendrait. Il regardait la tragédie française comme la farce la plus complète qu'ait pu inventer l'esprit humain.
435 ページ - Toutes les choses du monde ont du rapport avec elle dans mon cœur : mon idée en est si fort occupée, que je ne sais rien, en son absence, qui mw puisse divertir. Quand je la vois, une émotion et des...
609 ページ - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.

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