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VARIANTES

DU LIVRE SEPTIÈME.

PAGE 3, VERS 5.

Sitôt qu'à ce tombeau, dont nos bords se font gloire, Il a par un saint culte honoré sa mémoire,

Le héros part, fend l'onde, et s'éloigne du port.

IBID., VERS 19.

Là grondent renfermés, et de rage écumants,
Tous ces monstres créés par ses enchantements,
Qui, d'hommes qu'ils étoient, changés en ours informes,
En lions menaçants, en sangliers énormes,
S'irritent dans la nuit; et, secouant leurs fers,
De leurs longs hurlements épouvantent les airs.

PAGE 5, VERS 5.

Le jour suivant à peine a commencé d'éclore,
L'onde à peine rougit des rayons de l'aurore,
Tout-à-coup, etc.

PAGE 9, VERS 4.

Je vois

Des lieux d'où cet essaim guide sa colonie,
Un peuple belliqueux marcher vers l'Ausonie:
Ils viennent; et bientôt successeur de nos rois,
Leur chef au Latium dispensera des lois.

PAGE 13, VERS 20.

Souviens-toi de bâtir un asile à tes dieux:

Là ton bonheur commence, et là ton malheur cesse. Anchise le promit, il me tient sa promesse.

PAGE 19, VERS 9.

Tous les grands de l'état, sur des ais alongés,
Sont à la même table avec ordre rangés.

Tous les grands de l'état, dans de pieux banquets,
D'une table alongée environnent les ais.

IBID., VERS 16.

Dont les måles courages

Ont affronté la mort pour sauver leur pays,
D'un vestibule immense, etc.

PAGE 21, VERS 24.

Transporta ses foyers sur les monts phrygiens ;

Et maintenant ce prince, adoré dans l'Asie,
Admis avec les dieux, partage l'ambroisie.

PAGE 29, VERS 7.

Tous, fiers de leurs coursiers, et comblés de bienfaits, Partent, et vont porter des paroles de paix.

PAGE 37, VERS 15.

Que dis-je? par Bacchus feignant d'être inspirée,
Dans le fond des forêts, en sa fureur sacrée,
Elle court, elle vole aux lieux les plus secrets
Confier sa douleur et cacher ses regrets,
Et cacher aux Troyens cet objet qu'elle adore.
C'est toi, divin Bacchus, que sa douleur implore;
Pour toi seul, de sa fille elle ordonne l'hymen ;
Pour toi, de Lavinie un thyrse orne la main;
Pour toi, de ses cheveux elle nourrit les tresses,

Se couronne de pampre, et conduit tes prêtresses. Le bruit de ses fureurs, etc.

PAGE 47, VERS 3.

Par-là son art fatal cherche à troubler la terre,
Et donne dans les champs le signal de la guerre.
Les enfants de Tyrrhée, orgueil de ces hameaux...

PAGE 53, vers 27.

Pour gagner le Cocyte abandonne les cieux.
Au sein de l'Italie et sous des monts affreux
S'étend un noir vallon, etc.

PAGE 59, VERS 9.

Ainsi dès que, de Mars provoquant la fureur,
Le décret du sénat porte au loin la terreur,
Sous les pans bigarrés, etc.

page 63, vers 12.

S'essayoit dans les bois sur l'animal sauvage,
Lausus, etc.

IBID., VERS 15.

Il est tendre et vaillant, il sait combattre et plaire,
Mais, hélas! du destin on ne triomphe pas:
Mille fiers Agyllans vont vaincre sur ses pas.

PAGE 65, VERS 15.

De leur sommet neigeux descendent à grands pas; La forêt leur fait place et s'ouvre avec fracas.

PAGE 75, VERS 10.

Ses chevaux emportés déchirèrent son corps.
En faveur de Diane et des pleurs d'Aricie,
L'art du fils de Péon le rendit à la vie.

PAGE 79, VERS 11.

Parmi tous ces guerriers, amazone intrépide,
Camille enfin guidoit son escadron rapide;
Camille préféroit, amante des combats,
La lance belliqueuse au fuseau de Pallas,
Et les travaux de Mars à des arts plus tranquilles.

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Ou, d'un pied suspendu sur les plaines profondes,
De la mer, en courant, eût effleuré les ondes,
Et de son pas rapide et léger à-la-fois,

Leur mol azur à peine auroit senti le poids.

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