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quatre cens quatre vings et treze par anthoine verard... gr. in-fol. goth. à 2 col. de 47 lig. fig. en bois. 24 et clxxxiiij f.

Ce livre est la traduction de l'ouvrage de Thomas Walleys, faite par Colard Mansion, et qui avait déjà été impr. par lui en 1484, in-fol. On y a supprimé le nom du traducteur et changé une partie du prologue. La Bibliothèque royale possède deux exemplaires de cette édit. de 1493, impr. sur vÉLIN et enrichis de miniatures.

– La même Bible des poetes.-Cr finist la bible des poetes De metamorphoze (sans lieu ni date), in-fol. goth. à 2 col. de 43 lig. fig. en bois.

Volume composé de 18 f. prél. et de ccj f.

de texte, au verso du dernier desquels
commence la table des chapitres qui
occupe les 5 f. suivans. L'édit. est impr.
avec les petits caractères dont on a fait
Verard, et elle a probable-
usage pour
ment été vendue par ce libraire. Un
exempl. sur VÉLIN avec fig. color., se
conserve à l'Arsenal.

La même Bible des poetes. Cr fine ce present liure intitule Ovide metamorphose, translate de latin en françois et nouvellement imprime a Paris pour Anthoine Verard... (sans date), pet. in-fol. goth. fig. en bois. Cette édition, qui paraît être différente des deux précédentes, a été vendue 92 fr. en 1824, 20 fr. de Nugent. Une autre de Paris, Jehan Petit, sans date, in-fol. goth. fig. en bois, est dans le catal. Lang, no 1749. Celle de Paris, Mich. Le Noir, 1523, in-fol, goth. fig. en bois, n'a été vendue que 3 fr. La Vallière; 12 fr. 50 c. Laire, et 15 sh. Hibbert. Celle de Paris, Phil. Le Noir, 1531, in-fol. goth. a moins de valeur

encore.

-Le grand Olympe des histoires poetiques du prince de poesie Ovide Naso en sa metamorphose... traduit de latin en françois.-On les

vend a Lyon, en la boutique de Romain Morin...: (à la fin de la tierce partie) imprimé... à Lyon par.... Denys de Harsy lan de grace 1532, 3 part. en 1 vol. in-8. de LXXXVIII, XCVJ et CXVIJ f. avec fig. en bois. La plus ancienne édition du grand Olympe en ce format: 1 liv. 3 sh. Hibbert. Nous l'avions déjà citée ainsi que plusieurs autres, auxquelles nous devons ajouter celle de Paris, Denys Janot, 1539, pet. in-8. lettres rondes.

- Les trois premiers livres de la Métamorphose d'Ovide, traduits en vers françois, le premier et le second par Clement Marot, le tiers par Barthelemy Aneau, mythologisez par allegories historialles, naturelles et morales... illustrés de figures et images convenables; avec une préparation de voie à la lecture et intelligence des poètes fabuleux. Lyon, Macé Bonhomme (ou chez J. Rouille), 1556, pet. in-8. Ce volume est orné de gravures en bois, et chaque page est entourée de bordures historiées. Le premier livre de la traduction de Marot, a été imprimé sépárément à Lyon, chez Gryphius, sans date (vers 1533), in-8. goth. de 26 f. y compris le titre, qui est en lettres rondes; et réimpr. à Lyon, Fr. Juste, 1534, in-16. goth. J'ignore si le second a paru séparément, mais ils sont l'un et l'autre dans presque toutes les éditions des œuvres du poète de Cahors.

Les métamorphoses d'Ovide, traduction nouvelle avec des notes par M. G.-T. Villenave; avec le texte lat. seconde édition. Paris, 1825, 4 vol. in-12. 12 fr.

La première édit. de cette même traduct.

en 4 vol. gr. in-8., avec des fig., est complète en 24 livr. dont la dernière n'a paru qu'en 1822. Nous en avons indiqué et les différens papiers et les prix. Ces derniers sont maintenant réduits de plus de trois-quarts. (II, 606.) - L'Ovide en belle humeur de M. d'Assoucy. Suivant la copie impri

mée à Paris, 1651, pet. in-12. de 94 pp. y compris le titre. Cette jolie édition est sortie des presses des Elzevier de Leyde; c'est un des livres les moins importans, et en même temps un des plus rares que nous aient laissés ces imprimeurs célèbres : 45 fr. Desjobert,; 105 fr. en 1829. L'Ovide en belle humeur ( premier livre) a d'abord été impr. à Paris vers 1650, in-4.; puis réimpr. dans la même ville, en 1653, enrichy de toutes ses figures burlesques, in-4.; et augmenté du jugement de Proserpine, et du jugement de Paris, en 1659, en 1664, pet. in-12. Un autre ouvrage du même genre et qui n'eut pas alors moins de succès que celui-ci a pour titre :

Ovide bouffon, ou les métamorphoses en vers burlesques, par L. Richer. Paris, Quinet, 1649-52, in-4. Les cinq premiers livres.--Réimpr.à Paris, Loyson, en 1662 et en 1665, in-12. 3 à 5 fr. L'édit. de 1662, a été vendue jusqu'à 22 fr. (mar. r.) Nodier. -La métamorphose d'Ovide figurée (avec des huitains français). Lyon, Jean de Tournes, 1564, in-8. de 91 f. signat. a-miij avec 178 vignettes et des bordures.

Nous avons déjà parlé de l'édit. de 1557 de cette jolie suite de gravures en bois, exécutée par Bernard Salomon : celle de 1564, composée du même nombre de feuillets, n'est pas inférieure à la première, parce que les planches en bois supportent un nombreux tirage sans s'affaiblir: 6 fr. Mac-Carthy; 10 fr. Coulon. Les mêmes planches, ou du moins des pl. copiées sur celles-ci, ont servi à une édit. de Paris, de Marnef, 1566, pet. in-16. vend. 15 sh. 6 d. mar. Hibbert. (Voy. ci-dessus.) - Excellente figuren... ( Excellentes figures tirées des XV livres des métamorphoses d'Ovide, avec leur explication, en flamand, par Guil. Borluit de Gand). Lions, Jan von Tournes, 1557, in-8.

Ce sont encore les figures de Bernard Salomon qui donnent du prix à ce vol.

rare, vendu 11 fr, Crévenna. Ces mêmes figures ont paru avec un texte ital, en 1559. (Voy. II, 607), et en 1584, in-8. - Les xxj epistres douide translatees de latin en francoys par reuerend pere en dieu mōseigneur leuesque dangoulesme (Octavien de SaintGelais).- imprime a Paris pour Anthoine verard marchāt libraire demourant... en la rue saint iaques pres petit pont...(vers 1502), pet. in-4. goth. de 129 f. à 36 lign. par page, avec fig. en bois.

Edition la plus ancienne de cette traduction. La Bibliothèque du roi en conserve deux exemplaires impr. sur VÉLIN.

L'exemplaire de l'édit. de Paris, Galliot du Pré, 1528, pet. in-8. de Guij f. avec vignettes en bois, qui, réuni aux contre-epistres d'Ovide, de Mich. d'Amboise, 1541, et rel. en mar. bl. s'était vendu 9 fr. 10 c. seulement chez Méon, a été revendue 39 fr. en décembre 1814; et 73 fr. 5 c. Coulon.

- Sensuyt les xxi espistres douide: träslatees d' lati en francois p reuerend pere en dieu maistre Octouie de sait gelaix eues dagoulesm. XXIII: (au verso du dernier f.) cy finist le liure des epistres de Ouide nouuellement imprime a Paris le.xx. iour de feubrier lan mil cinq cens xxv, pet. in-4. goth. de 118 f. non chiffrés avec fig. en bois.

Edition avec un titre en rouge et noir, et le texte en marge. Celle de Paris par la veufue feu Jehan Treperel... a léseigne de lescu de Frace, in-4. goth. aussi avec un titre en rouge et noir, est une réimpression de la précédente, et contient également 118 f. Nous en avons vu une autre de Paris, acheuee dimprimer le 23 fevrier 1525, pet. in-4. goth. de 114 f. sign. a-ziii, avec le texte lat. en marge et des fig. en bois. Nous citerons encore les éditions suivan

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tes :

- Lyon, Oliv. Arnoullet, 1522, in-4. goth.

--

-Lyon, J. Besson, pet. in-4. goth. fig. en bois, 7 fr. imparfait, Chardin. - Nouellement revues et corrigées. Paris, Guillaume de Bossozel, 1534, pet. in-8. fig. en bois, de cxxxv f. plus 16 f. pour les quatre épîtres ajoutées.

Nouvellement revues et corrigées outre les précédentes impressions (sans nom de lieu ni d'imprimeur ), 1538, pet. in-8. avec une petite grav. en bois à la tête de chaque épître. – A Rouen, par Nic. Leroux, pour P. Regnault, libraire à Paris, 1544. - Paris, Nic. du Chemin, 1546, in-16. de 183 f.

Dans ces quatre dernières édit. il se trouve de plus que dans les autres quatre épitres sous le nom d'Ovide, composées envers par André de La Vigne. -Les vingt-un epistres d'Ovide : les dix premieres sont traduites par Charles Fontaine, le reste est par lui revu et augmenté de préfaces; les amours de Mars et de Venus, le ravissement de Proserpine, imitation d'Homère et d'Ovide (trad. par Joach. du Bellay). Lyon, Jean de Tournes, 1556, in-16. de 459 pp. y compris la table et l'errata, avec fig. en bois.

Toutes ces traductions sont en vers: celles des onze épîtres qui n'appartiennent pas à Fontaine sont d'Oct. de SaintGelais, à l'exception de la 17e et de la 18e, du seigneur de Saint-Romat. Le même recueil a été réimpr. chez J. de Tournes, en 1573, in-16. 10 fr. 50 c. Coulon; et à Paris, Hier. de Marnef, 1571, et en 1580, in-16. fig. en bois. Les dix epitres trad. par Ch. Fontaine avaient déjà paru Lyon par Eustace Barricat, pour Philibert Rollet (et J. Temporal), 1552, in-16., avec la reponse à icelles epistres, par Mich. d'Amboise dit l'Esclave fortuné. Ces réponses ne sont ici qu'au nombre de dix, mais il en existe quinze qui ont paru ensemble sous le titre suivant :

LES CONTREPISTRES D'OVIDE, nouvellement inventées et composées par Michel

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Les héroides d'Ovide, traduites en vers français (par Jean-de-DieuRaymond de Cucé de Boisgelin). Philadelphie (Paris, Pierres), 1789, gr. in-8. pap. vel.

Cette belle édition, tirée à très petit nombre pour l'auteur et ses amis, renferme le texte latin. Les Fastes y occupent 419 pp. précédées d'un discours préliminaire, en 70 pp., et suivies de Ceix et Alcyonne, extrait des métamorphoses d'Ovide, trad. en prose avec le texte lat. pag. 420 à 449. Il doit se trouver ensuite un feuillet d'errata, qui n'est pas dans l'exemplaire en papier ordinaire de la Bibl. du roi, lequel me paraît être ce qu'en terme d'imprimerie on appelle de mise en train. Il avait déjà été donné sous le même titre, et avec la date de 1784, une édition de cette traduction, sans le texte latin, en 1 vol. pet. in-8. impr. sur beau pap. vélin azuré, contenant xci pp. pour le discours préliminaire, et 267 pp. pour la traduction, y compris celle de Ceix et Alcyonne, qui commence à la page 245. Cette édition, sortie aussi des presses de Pierres, n'a également été

tirée qu'à un très petit nombre d'exemplaires, et elle a quelquefois été vendue 30 fr. et plus. La seconde est encore plus chère. J'en ai indiqué une autre dans le Manuel (II, 607) sous le titre d'Heroides du galant Ovide, Philadelphie, 1784, in-8. de 368 pp. pap. vél. avec le texte lat., dont un exemplaire a été vendu 46 fr. salle Silvestre en 1805; mais quoique cet exemplaire m'ait passé sous les yeux, dans le temps, je n'oserais pas affirmer aujourd'hui que mon indication soit exacte, car l'exempl.datéde 1784 que je possède n'a point de texte latin, et le mot galant ne se lit pas sur le titre. Néanmoins, si ce volume a réellement 368 pp., comme je l'ai dit, ce doit être une édition différente des deux que je viens de décrire. Au reste, cette traduction, qui suit de très près le texte latin, n'est pas sans mérite, et on l'a choisie pour faire suite à celle que Saint-Ange a donnée des autres parties d'Ovide. (Voyez ci-dessus.) -Ovide de l'art d'aymer, translaté de latin en françoys; avec plusieurs autres petitz œuvres dont le contenu est à la page suyvante; le tout mieux que par cy-devant reueu et corrigé en Anvers, chez Gerard Spelman, anno 1556, in-16. de 116 f. non chiffrés, sig. a-p.iv. Ce volume, devenu rare, est la réimpression d'un semblable recueil imprimé à Paris, chez Estienne Groulleau en 1548, pet. in-8. selon Duverdier, qui en attribue mal à propos toutes les pièces à Albin des Avenelles. Il faut distinguer dans ce recueil deux parties diffé

rentes.

La première, contenant l'art d'aimer, la clef d'amour et les sept arts libéraux d'amour, en vers de buit syllabes, avait d'abord été impr. à Genève, sans date, in-4. (Manuel, II, 607). Il y en a une autre édit. de Genève, in-8. goth. (La Vallière-Nyon, no 14801) qui n'a été vendue que 3 fr. Mac-Carthy. Ces trois pièces, anonymes, mais qui appartiennent bien à un même auteur, sont, au jugement de La Monnoye (note sur Duverdier, I, 39), une mauvaise imitation

(très abrégée) des trois livres d'Ovide de arte amandi. Dans la seconde de ces pièces intitulée La chief d'amour, ou la Clef d'amour selon les dernières éditions, se trouve vers la fin la date du 25 octobre 1509 exprimée en quatre vers. C'est donc bien à tort que dans une note manuscrite, le président Bouhier, cité par M. Barbier (Dict. des anonymes, no 13500), attribuait cette traduction de l'art d'aimer à Raoul de Beauvais, poète du 12° siècle, qui, selon Galland (Acad. des Inscript.,\II, 730) serait l'auteur du Roman de Perceval, et aurait aussi mis en roman l'art d'aimer d'Ovide.

La seconde partie est en entier d'Albin des Avenelles, nommé au commencement du remède d'amour, opuscule en vers de 10 syllabes publié d'abord séparément sous le titre suivant :

LE REMEDE D'AMOUR, composé par Eneas Sylvius, autrement dict pape Pie II, translaté de latin en francoys par maistre Albin des Avenclles, avec aulcunes additions de Baptiste Mantuan, et la complainte du dit Enée sur la description des deux amants Euriale et Lucresse..... avec la declamation morale de l'amant renonçant à fol amour. Paris, à l'enseigne de l'escu de France, in-4. goth. de 12 f. avec une fig. en bois sur le titre. (Manuel, I, p. 19.)

Toutes les pièces de ce recueil, et un Discours fait a l'honneur de l'amour chaste pudique, au mépris de l'impudique, font partie de l'édit. de Paris, Nic. Bonfons (vers 1580), in-16.

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de Ch. Nodier; l'exempl. du comte d'Hoym n'avait été vendu que 5 fr. 50 c. chez Méon.

Il est sans doute singulier qu'un ecclésiastique ait employé son temps à traduire les poèmes les plus érotiques, pour ne pas dire les plus obcènes d'Ovide; mais, pour s'excuser, Marolles a grand soin de nous dire dans ses remarques qu'il n'a pas pris de plaisir à le faire, et qu'il souhaite qu'on n'en prenne pas en lisant sa traduction. Or, sur ce point là, il faut convenir qu'il a été servi à souhait, tant pour ce volume que pour les autres ouvrages du même poète qu'il a mis en français; et notez qu'il les a tous traduits, à l'exception des Métamorphoses, dont il n'a donné qu'une partie.

-

Ovidio metamorphoseos uulgare (in prosa tradotto da Giovanni de' Bonsignori di città di Castello). Stampato in Venetia per Zoane rosso uercellese ad instantia del... Lucantonio Zonta fiorentino. M. cccc. LXXXXVII. Adi x del mese de aprile, in-fol. à 2 col. fig. en bois.

Première édition de cette traduction composée vers 1370, et que La Crusca n'a citée que d'après des manuscrits. Le volume a 4 f. prél. et CXLI f. chiffrés, avec des sign. de a-s. On remarque à plusieurs des gravures les lettres i a, qui sont probablement le monogramme du graveur. Vendu 36 fr. 95 c. BrienneLaire; 1 liv. 11 sh. Hibbert. L'édit. de Venise, per Christ. de Pensa ad instantia di miser Lucantonio Zonta, 1501, adi vij de marzo, in-fol. avec les mêmes fig. 12 fr. La Vallière. Les autres réimpressions ont peu de valeur.

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Le Metamorfosi ridotte da Gio. And. dell' Anguillara in ottava rima con le annotationi di Gius. Horologgi et gli argomenti et postille di Fr. Turchi. Venetia, Bern. Giunti, 1584, pet. in-4. de vin f. et 547 pp. fig. de Giacomo Franco. La plus recherchée des anciennes éditions de cette traduction, devenue classique en Italie elle vaut de 12 à 18 fr., et TOME II.

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un exempl. en mar, a même été vendu 1 liv. 15 sh. Hibbert; mais il est à remarquer que Giunti a fait deux édit. de ce livre sous la date de 1584 et avec les mêmes figures. La première est celle dont la dernière page est colée 547. Dans la seconde, dont les notes sont en plus petits caractères que dans l'autre, et où sont ajoutées plusieurs notes marginales, le chiffre de la dernière page est 539, et en outre l'épître dédicatoire commence par les deux mots si come qui ne sont pas dans la première édi

tion.

Cette même traduction a été très fréquemment réimprimée en Italie. Les meilleures éditions modernes sont celles de Milan, 1805, 3 vol. in-8. de la collect. des classiques ital.— de Milan, soc. de' classici, 1827, 6 vol. in-32. portr. de Florence, 1827, in-16. Il existe une édit. des trois premiers livr. des Métamorphoses de l'Anguillara, impr. à Paris, chez André Wechel, en 1555, in-4. de 48 f., fort rare et peu connue, qu'Ebert regarde comme la première de cette traduction : celles de 1553 et 1554 citées par Paitoni ne lui paraissant pas bien avérées.

Le metamofosi recate in altrettanti versi italiani da Giuseppe Solari. Genova, 1814, 3 vol. in-8. 12 fr. Ce qui distingue cette traduction, c'est qu'elle a le même nombre de vers que l'original.

Le Pistole di Ovidio tradotte in

prosa (Napoli, Sixt. Riessinger), pet. in-4.

Edition fort rare qui se compose de 82 f. à 30 et 31 lig. par page, sans chiffres récl. ni signat., avec 20 gravures en beis. On lit dans le prologue: Accio che tu intendi e sappi aptamente larte e la sciencia di qsto libro sappi che ouidio el fece.....; et à la fin de l'ouvrage : Qui finisce ilibro delle pistole che fecie ouidio nasone traslatate di gramaticha i uolgare fiorentino AMEN Sixtus Riessinger. La même souscription avec la marque de l'imprimeur, accompagnée des lettres S. R.‍D. A. (Sixtus Riessinger de Argentina), est aussi dans une

LI

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