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Un

Choubard, sculpt.

Lafond, je., delt.
JOACHIM MURAT AND HIS WIFE CAROLINE BONAPARTE,
KING AND QUEEN OF NAPLES

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Lady D[-], or some of the English that are there, have written to you. I hope they will not come here; for except the present company, and the two Lady Charlottes, I do not wish to see any more Britannic faces here while we stay.

I am happy to say we go on well. There have been clouds, but they were all interior, and I believe none of the natives are at all disposed to blame, but on the contrary, strive to do their utmost to please and to amuse. I am quite determined that it is the only place to live in, and am only fearful that we shall be tired of it, sooner than I. or would have written to you. Her Royal Highness writes, I believe, by Colonel D'Arlincourt.

Believe me ever,

Gell is in waiting,

Your very sincere and attached

From the PRINCESS OF WALES.

K. C.

Ce neuf de Janvier, a NAPLES.

Depuis hier j'ai recu votre seconde lettre, de la date du quatorze Decembre. Je me trouve fort malheureuse qu'aucune de mes lettres ne vous sont enfin arrivè. Vous scavez combient je vous suis sincèrement attachée, et combien je desire en tout temps et lieu de vous le prouver. Je crains que vous ne m'accusè de negligence, et peutêtre d'oublie : ne croyez rien de tout cela, et croyez seulement que la Poste est vraiment horrible, et d'une incertitude affreuse. Au reste, les lettres sont tous lu partout, avant qu'il passe, et puis sont copié; les miens sont envoyés pour la critique de L'Angleterre, pour etre reveu, et corrigé. Ce qui me fait trembler chaque fois que je prends la plume en main. Soyez tres persuadé que Naples est actuellement tout rempli d'espions. J'en connoit plusieures, qui sont caché, et les autres qu'ils se montre publiquement. Quad même, je mene la vie la plus tranquille du monde, et ne suis lier avec personne. Les mœurs sont bien stricte actuellement, et il y'a beaucoup d'etiquette partout; ce qui à ainsi fait changé Naple, en fait d'amusement, et qui me conviens, car il est triste comme je sent mon cœur.

Je n'ai pas encore reçu une ligne de ma Fille. Ce qui m'inquiete beaucoup. Monsieur St. Leger est le seul personne qui m'écrive. Le climat est bien doux, mais beaucoup de

pluie, et d'humidité, mais cela me conviens. Au reste, je suis si charmée d'être etabli quelque part que je me contente de tout bien aisément. Lady Oxford n'est pas ici a la mode du tout. La Reine ne peut la souffrir; ils sont dans des embarras terrible pour de l'argent, et j'ai été obligé de lui donner mille ducats en present. Elle compte de vendre la plus grande partie de ses diamonds a la Reine. Ont la trouve nullement plus belle ici; ont parle d'elle comme d'une personne qui est absolument passée. Lady E[] est appele La Petite Folle. Elle court apres tout les hommes, et surtout apres notre Roi. Ce que la Reine n'aime guère. Mais cependant il n'y a pas le moindre espoir de trouver un mari ici, et encore moins de filer le parfaite Amour. Nous avons (words illegible) toute ma cœur Aussibien que la petite basse cour, et je ne la vois jamais. Je dine bien des jours pour cette raison seule dans ma petite Coquille à m'instruire, et mene une vie contemplative: je pourrois écrire une volume. Cher . . . si j'etais sûre que ce chiffon vous arrivà sans que cela fut lu. Mais comme l'incertitude est la base de notre existence, il faut agir en consequence. Ecrivez moi souvent et tous ce que vous faites. Le bon K[-] sera toujours le bien venu. Le Sieur Priam vient d'arrivé ici. Lady Westmoreland n'arrive qu'au printemps; les Hollands, et les Bedfords aussi. (Some words illegible.)

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Je propose faire un petit voyage par mer aussitot que Lady Charlotte Lindsay arrive ici. Et peutêtre je vous recontrerez a Genes ou a Marseilles pour l'automme, pour vous ramener ici au mois d'Octobre. Voila des plans de bien loin. Je donnerai milles écus pour une heure de conversation, mais combien c'est cruelle que je n'ai pas une etre à qui ouvrir mon cœur. Mais soyez toujours bien persuadée qu'absente ou presente vous etes toujours près de moi, et que je languis bien apres cette heureux moment, et que je suis pour la vie votre affectionné,

Letter from MRS. D[AMER?].

C. P.

Dated LONDON, Jan. 10th, 1815.

DEAR [-],-First I must begin by all best wishes for your happiness, this and many succeeding new years. Then I have to tell you, that I now, since my last letter, have every

reason to believe that you will find no difficulty in passing your time where you please, without troubling the Frigate for a conveyance, and that your excuse on the score of health will be readily accepted.

H[-] read me a letter just received from Mrs. Thompson to Col. St. Leger, saying how much she enjoyed her present residence, where she "led a sedentary life." She would "have him come to her, with all his family," but not a word of the means so to do; which I think clearly indicates that all her present invitations are mere flourish, and from a conviction that they will not be accepted.

Mrs. Thompson's most agreeable head servants are both leaving her; (I doubt not a sort of mutual intelligence ;) but they are leaving her. The one is going to meet his mother, and the other, I believe, returning to England; * only Lord [Mr.] H[ollan]d remains, who, she says, is "a great comfort to her." One other man, I should suppose, also remains ; but of him, in these last accounts, I have heard nothing. I leave you to make your own comments on all this. You will, I think, hug yourself to think that you are out of this mess. I saw the most entertaining letter possible, from C[—] to B[], in which he describes, in the most ludicrous way, not only the bustle, but the perpetual whirl, of the journey and of Naples. This is well contrasted with Mrs. Thompson's "sedentary life."

Have you heard that the Besboroughs and Ponsonbys were nearly lost in their passage down the Rhone? It is odd that C[raven] should not in his last letter have mentioned his intention of coming away; but as he said that all letters to certain persons in particular are opened by the N[aples] government, this accounts for his not saying all he might otherwise. Mrs. Thompson's letter was positive as to his and his friend's leaving her.

Letter from MR. GELL to [—,] at Nice.

Dated NAPLES, Jan. 19th, 1815. A very hot day-looking over the sea-and in waiting.

MY DEAR [],—After so many months and years, I have at last heard from you; but as you accuse me of * Mr. Craven went to meet his mother, the Margravine of Anspach; Mr. Gell desired to return to England.

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