| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1835 - 300 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons du soleil du soir , et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée ; enfin le sourd mugissement de la mer...et à la pensée du promeneur le mélange le plus sublime , le plus doux et à-la-fois le plus mélancolique qui ait jamais enivré mon ame; c'est le... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 370 ページ
...sable; quelques groupes » de Turcs assis devant un café bâti en feuillage, » et fumant la pipe on faisant la prière; un peu » plus loin les collines...qui se mêle au bruit musical du vent » dans les tètes de sapins , et au chant de milliers » d'oiseaux inconnus; tout cela offre à Tœil et à la... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 420 ページ
...teignent d'or aux rayons du soleil du soir , » et où le vent soulève des nuages de poussière » enflammée ; enfin, le sourd mugissement de » la...vent » dans les têtes de sapins , et au chant de mil« liers d'oiseaux inconnus; tout cela offre à » l'œil et à la pensée du promeneur le mélange... | |
| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 ページ
...d'or aux rayons du soliil du soir, " et où le vent soulève des nuages de poussière aiflammée; " enfin, le sourd mugissement de la mer qui se mêle au " bruit musical du vent dans les têtes de sçins, et au " chant de milliers d'oiseaux inconnus ; tout cela offre à " l'œil et à la pensée... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 754 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons-du soleildu soir, et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée, enfin le sourd mugissement de la mer qui se mêle au bruit musical du vent dans les têtesde sapins et au chant de milliers d'oiseaux inconnus; tout cela offre à l'œil et à la pensée... | |
| François-René de Chateaubriand - 1837 - 382 ページ
...fifre et du tambourin , environnées » d'une foule d'enfans vêtus d'étoffes rouges bor» dées d'or, et qui dansent devant leurs chevaux; « quelques cavaliers...dans les têtes de sapins , et au chant de milliers M d'oiseaux inconnus; tout cela offre à l'œil et à la » pensée du promeneur le mélange le plus... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1838 - 692 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons du soleil du soir, et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée; enfin le sourd mugissement de la mer qui...milliers d'oiseaux inconnus; tout cela offre à l'œil cl, à la pensée du promeneur le mélange le plus sublime . le plus doux, et à la fois le plus mélancolique... | |
| Alphonse de Lamartine - 1843 - 584 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons du soleil du soir, et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée ; enfin le sourd mugissement de la mer...et à la pensée du promeneur le mélange le plus sublime, le plus doux et à-la-fois le plus mélancolique qui ait jamais enivré mon âme; c'est le... | |
| Alphonse de Lamartine - 1843 - 584 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons du soleil du soir, et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée ; enfin le sourd mugissement de la mer...chant de milliers d'oiseaux inconnus; tout cela offre a l'œil et à la pensée du promeneur le mélange le plus sublime, le plus doux et à-la-fois le plus... | |
| Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1843 - 594 ページ
...qui se teignent d'or aux rayons du soleil du soir, et où le vent soulève des nuages de poussière enflammée ; enfin le sourd mugissement de la mer qui se mêle au bruit musical du vent dans les tètes de sapins et au chant de milliers d'oiseaux inconnus; tout cela offre à l'œil et à la pensée... | |
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