La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètesG. Westermann, 1891 - 696 ページ |
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... gardé son caractère primitif . Charlemagne y figure dans toute sa majesté , dont le souvenir s'affaiblit dans les ... garde au moment de la retraite . Le gros de l'armée est déjà de l'autre côté des monts , lorsque Roland et sa troupe ...
... gardé son caractère primitif . Charlemagne y figure dans toute sa majesté , dont le souvenir s'affaiblit dans les ... garde au moment de la retraite . Le gros de l'armée est déjà de l'autre côté des monts , lorsque Roland et sa troupe ...
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... garde du Roi Pêcheur , prince de difficile abord , et qui ne livrera son trésor qu'à un chevalier qui aura su conserver , à travers les périls de la vie galante et guerrière , la pureté du corps . Les plus braves ont perdu , che- min ...
... garde du Roi Pêcheur , prince de difficile abord , et qui ne livrera son trésor qu'à un chevalier qui aura su conserver , à travers les périls de la vie galante et guerrière , la pureté du corps . Les plus braves ont perdu , che- min ...
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... garde , au milieu de tant d'âpres rigueurs , Mes larmes aux vaincus , et ma haine aux vainqueurs . Julie . Qu'on voit naître souvent de pa- reilles traverses , En des esprits divers , des passions diverses ! Et qu'à nos yeux Camille ...
... garde , au milieu de tant d'âpres rigueurs , Mes larmes aux vaincus , et ma haine aux vainqueurs . Julie . Qu'on voit naître souvent de pa- reilles traverses , En des esprits divers , des passions diverses ! Et qu'à nos yeux Camille ...
59 ページ
... garde à Curiace une amitié trop pure Pour souffrir plus longtemps qu'on m'estime parjure . Il vous souvient qu'à peine on voyait de sa sœur Par un heureux hymen mon frère posses- seur , Quand pour comble de joie , il obtint de mon père ...
... garde à Curiace une amitié trop pure Pour souffrir plus longtemps qu'on m'estime parjure . Il vous souvient qu'à peine on voyait de sa sœur Par un heureux hymen mon frère posses- seur , Quand pour comble de joie , il obtint de mon père ...
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... garde : Mon esprit rejetait ces funestes objets , Charmé des doux pensers d'hymen et de la paix . La nuit a dissipé des erreurs si charmantes ; Mille songes affreux , mille images sanglantes , Ou plutôt mille amas de carnage et d'hor ...
... garde : Mon esprit rejetait ces funestes objets , Charmé des doux pensers d'hymen et de la paix . La nuit a dissipé des erreurs si charmantes ; Mille songes affreux , mille images sanglantes , Ou plutôt mille amas de carnage et d'hor ...
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Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
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121 ページ - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
219 ページ - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
321 ページ - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
294 ページ - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
86 ページ - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
91 ページ - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
85 ページ - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
219 ページ - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
76 ページ - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
86 ページ - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...