ACARNANIENS. Ravagés par la Mace-
doine et l'Etolie, page 21.
Achaiens. Etat des affaires de ce peu-
ple, 21.

ACINDYNE et BARLAAM. Leur querelle
contre les moines grecs, 106.
Actium (bataille d'). Gagnée par Au-
guste sur Antoine, 16.

Adresse. Sa définition, 7.

ADRIEN (l'empereur). Abandonne les
conquêtes de Trajan, 71. On en
ibid. Rétablit la disci-

murmure,

pline militaire, 76.
Affranchissement des esclaves. Au-
guste y met des bornes, 60.
Affranchissemens. Motifs qui les
avaient rendus fréquens, 60 et suiv.

Afrique (villes d'). Dépendantes des

Carthaginois: mal fortifiées, 15.

Agriculture (l') et la guerre étaient les
deux seules professions des citoyens
romains, 6, 44.

AGRIPPA, général d'Octave. Vient à

bout de Sextus Pompée, 56.

ALEXANDRE, Successeur d'Héliogabale,

est tué par les soldats romains, 76.

ALEXIS COMNÈNE. Evénemens arrivés
sous son règne, 112 et suiv.
ALEXIS et JEAN COMNÈNE. Repoussent
les Turcs jusqu'à l'Euphrate, 112.
Allemagne. Ses forêts élaguées, ses
marais desséchés, 103.

Allemands croisés. Paient cher les
fautes des croisés français, 113.
Allié (le titre d') du peuple romain,
très-recherché, quoiqu'il emportât
avec soi un véritable esclavage, 27.

AMALASONTE, reine des Goths. Fournit

des vivres à Bélisaire, 96.

Ambassadeurs romains. Parlaient par-
tout avec hauteur, 27.

Ambition. Mal très-commun dans l'em-:

pire grec pourquoi, 101.

Anarchie. Règne à Rome pendant les
guerres civiles, 58.

ANDRONIC PALEOLOGUE. Abandonne

la marine par quelle raison, 107.

Réponse insolente d'un patriarche de

Constantinople au vieux Andronic,

ibid. Passe sa vie à discuter les sub-

tilités théologiques, 109, et suiv.

ANDRONIC COMNÈNE. Le Néron des

Grecs, 11.

Angleterre. Sagesse de son gouverne-

ment, 39.

ANNIBAL. A quoi il dut ses victoires con-

tre les Romains, 16. Obstacles sans

nombre qu'il eut à surmonter, 17.Jus-

tifié du reproche qu'on lui fait com-

munément de n'avoir pas assiégé Rome

immédiatement après la bataille, et

d'avoir laissé amollir ses troupes à Ca-

poue, 18. Ce furent ses conquêtes

mêmes qui changèrent sa fortune,

19. Critique de l'auteur sur la façon

dont Tite-Live fait parler ce grand
capitaine, ibid. Réduit par Scipion
à une guerre défensive, il perd une
bataille contre le général romain, 20.

ANTIOCHUS. Sa mauvaise conduite

dans la guerre qu'il fit aux Romains,

24. Traité déshonorant qu'il fit avec

eux, ibid.

ANTOINE. S'empare du livre des rai-
sons de César, 53. Fait l'oraison fu-
nèbre de César, ibid. Veut se faire
donner le gouvernement de la Gaule
cisalpine au préjudice de Décimus
Brutus qui en est revêtu, 54. Défait
à Modène, 55. Se joint avec Lépide
et Octave, ibid. Réuni à Octave, il
poursuit Brutus et Cassius, ibid.
Jure de rétablir la république : perd
la bataille d'Actium, 57. Une troupe
de gladiateurs lui reste fidèle dans
ses désastres, ibid.

ANTONINS (les deux). Empereurs chéris
et respectés, 71.

APPIEN. Historien des guerres de Ma-
rius et de Sylla, 45.
APPIUS CLAUDIUS. Distribue le menu
peuple de Rome dans les quatre tri-
bus de la ville, 39.

Arabes. Leurs conquêtes rapides, 102.
et suiv. Étaient les meilleurs hommes
de trait, 103. Bons cavaliers, ibid.

Leurs divisions favorables à l'empire
d'Orient, 110. Leur puissance dé-
truite en Perse, 111

ARCADIUS. Fait alliance avec les Wi-

sigoths, 92.

Archers crétois. Autrefois les plus es-
timés, 10.

Arianisme. Etait la secte dominante
des barbares devenus Chrétiens, 94.
Secte qui domina quelque temps dans
l'empire, ibid. Quelle en était la
doctrine, 101.

Aristocratie. Succède dans Rome à la
monarchie, 35. Se transforme à
peu
près en démocratie, 36.
Armées navales. Autrefois plus nom-
breuses qu'elles ne le sont, 17.
Armées romaines. N'étaient pas fort
nombreuses, 9. Les mieux diciplinées
qu'il y eût, ibid. Dans les guerres
civiles de Rome, n'avaient aucun ob-
jet déterminé, 57. Ne s'attachaient
qu'à la fortune du chef, ibid. Sous
les empereurs, exercaient la magis-
trature suprême, 77. Dioclétien dimi-
nue leur puissance: par quels moyens,
79. Les grandes armées, tant de terre
que de mer, plus embarrassantes
que propres à faire réussir une en-
treprise, 95.

Armes. Les soldats romains se lassent
de leurs armes, 86. Un soldat romain
était puni de mort pour avoir aban-
donné ses armes, 87.

ARSENE et JOSEPH. Se disputent le
siége de Constantinople : acharne-
ment de leurs partisans, 108.
Arts. Comment ils se sont introduits
chez les différens peuples, 11. Etaient
réputés, comme le commerce, chez
les Romains, des occupations ser-
viles, 44

Aruspices. Voyez Augures.

Asie. Région que n'ont jamais quittée
le luxe et la mollesse, 24.
Association de plusieurs villes grec-
ques, 20; de plusieurs princes à
l'empire romain, 77. Regardée par

BAJAZET. Manque la conquête de l'em-
pire d'Orient par quelle raison, 115.
Baléares (les). Etaient estimés d'excel-

lens frondeurs, 10.

Barbares. Devenus redoutables aux Ro-
mains, 77, 90. Incursions de bar-
bares sur les terres de l'empire ro-
main sous Gallus, 78; et sur celui
d'Allemagne, qui lui a succédé, ibid.
Rome les repousse, ibid. Leurs ir-
ruptions sous Constantius, 82. Les
empereurs les éloignent quelquefois

88.

les Chrétiens comme une des causes
de l'affaiblissement de l'empire,
Astrologie judiciaire. Fort en vogue
dans l'empire grec, 101.
Athamanes. Ravagés par la Macédoine
et l'Etolie,, 21.

Athéniens. Etat de leurs affaires après
les guerres puniques, ibid.
ATTILA. Soumet tout le Nord, et
rend les deux empires tributaires, 89.
Si ce fut par modération qu'il laissa
subsister les Romains, 90. Dans quel
asservissement il tenait les deux em-
pires, ibid. Son portrait, ibid. Son
union avec Genseric, 92.

Avares (les) attaquent l'empire d'O-
rient 100.

Augures. Étaient les grotesques du
paganisme, 117. Leur dignité était
une magistrature, 123. Opinion de
Fabius, de Marcellus, de Cicéron,
sur les augures, 118. Conduite de
Paul Emile, de César, de Scipion,
de Crassus, de Lucullus, de Brutus,
de Claudius Pulcher, envers les au-
gures, 119 et suiv.

AUGUSTE. Surnom d'Octave, 58. Com-
mence a établir une forme de gou-
vernement nouvelle, ibid. Ses motifs
secrets, et le plan de son gouverne-
ment, ibid. et suiv. Parallèle de sa
conduite avec celle de César, ibid.
S'il a jamais eu véritablement le des-
sein de se démettre de l'empire, 59.
Parallèle d'Auguste et de Sylla, ibid.
Est très-réservé à accorder le droit
de bourgeoisie, 60. Met un gouver-
nement et une garnison dans Rome,
61. Assigne des fonds pour le paie-
ment des troupes de terre et de mer.
ibid. Fait des établissemens fixes pour
la marine, ibid. Avait ôté au peu-
ple la puissance de faire des lois, 63.
AUGUSTIN (Saint). Réfute la lettre de
Symmaque, 89.

Autorité. Il n'en est pas de plus abso-
lue que celle d'un prince qui succède
à une république, 67 et suiv.

avec de l'argent, 84. Épuisaient
ainsi les richesses des Romains, ibid.
Employés dans les armées romaines
à titre d'auxiliaires, 85. Ne veulent
pas se soumettre à la discipline ro-
maine, 87. Obtiennent en Occident
des terres aux extrémités de l'em-
pire, 92 et suiv, Auraient pu deve-
nir Romains, ibid. S'entre-détruisent
la plupart, 93. En devenant Chré-
tiens, embrassent l'arianisme, 94-
Leur politique, leurs moeurs, ibid.

Différentes manières de combattre de

diverses nations barbares, ibid. Ce

ne furent pas les plus forts qui firent

les meilleurs établissemens, 95. Une
fois établis, en devenaient moins re-
doutables, 94.

BARLAAM et ACINDYNE. Leur querelle

contre les moines grecs, 106.

BASILE (l'empereur). Laisse perdre
la Sicile par sa faute, 107.
BASILE PORPHYROGÉNETE. Extinction
de la puissance des Arabes en Perse
sous son règne, 111.

Bataille perdue. Plus funeste par le

découragement qu'elle occasionne

que par la perte réelle qu'elle cause, 18.
Batailles navales. Dépendent plus à
présent des gens de mer que des sol-
dats, 17.

BAUDOUIN, comte de Flandre. Cou-
ronné empereur par les Latins, 113.

BÉLISAIRE. A quoi il attribue ses suc-

cès, 94. Débarque en Afrique pour

attaquer les Vandales, n'ayant que

cinq mille soldats, 95. Ses exploits et

CALIGULA. Portrait de cet empereur.

Il rétablitles comices, 65. Supprime

les accusations du crime de lèse-

majesté, ibid. Bizarrerie dans sa

cruauté, 67. Il est tué: Claude lui

succède, ibid.

CALLINIQUE. Inventeur du feu gré-

geois, 110.

Campanie. Portrait des peuples qui
l'habitaient, 5.

Cannes (bataille de). Perdue par les

Romains contre les Carthaginois, 18.

Fermeté du Sénat romain malgré cette

perte, ibid.

Capouans. Peuple oisif et voluptueux,5.
Cappadoce. Origine de ce royaume, 23.
CARACALLA. Caractère et conduite de
cet empereur, 74. Augmente la paie
des soldats, ibid. Met Géta son frère,
qu'il a tué, au rang des dieux, 75.
Il est mis au rang des dieux
par l'em-
pereur Macrin son successeur et
son meurtrier, ibid. Effets des pro-
fusions de cet empereur, ibid. Les
soldats le regrettent, 76.

Carthage. Portrait de cette république

lors de la première guerre punique,

13. Parallèle de cette république avec

celle de Rome, 14. N'avait que des

soldats empruntés, ibid. Son établis-

sement moins solide que celui de

Rome, 15. Sa mauvaise conduite dans

la guerre, ibid. Son gouvernement,

dur, ibid. La fondation d'Alexandrie

nuit à son commerce, ibid. Reçoit

ses victoires. Portrait de ce général,

96.

Béotiens. Portrait de ce peuple, 21.

Bigotisme. Enerve le courage des Grecs,
104. Effets contraires du bigotisme
et du fanatisme, ibid.

Bithynie. Origine de ce royaume, 23.

Blé (distribution de) dans les siècles de

la république et sous les empereurs,
81.

Bleus et verts. Factions qui divisaient
l'empire d'Orient, 97. Justinien fa-
vorise les bleus, ibid.

Bourgeoisie romaine (le droit de). Ac-

cordé à tous les alliés de Rome, 41.

Inconvéniens qui en résultent, ibid.
Boussole (invention de la). A porté la

marine à une grande perfection, 17.
Brigue. Introduite à Rome, surtout
pendant les guerres civiles, 58.
BRUTUS et CASSIUS. Font une faute fu-

neste à la république, 49. Se don-

nent tous deux la mort, 55.

Butin. Comment il se partageait chez

les Romains, 3.

la paix des Romains, après la se-

conde guerre punique, à de dures

conditions, 20. Une des causes de

la ruine de cette république, 39.

CASSIUS et BRUTUS. Font une faute fu-

neste à la république, 49. Se don-

nent tous deux la mort, 55.

CATON. Son mot sur le premier trium-

virat, 47. Conseillait, après la ba-
taille de Pharsale de traîner la

guerre en lougueur, 49. Parallèle de

Caton avec Cicéron, 54 et suiv.

Cavalerie. A moins besoin d'être dis-

ciplinée que l'infanterie, 86.

Cavalerie_d'Asie. Était meilleure que
celle d'Europe, 103.
Cavalerie numide. Passe au service des
Romains, 16.
Cavalerie romaine.

Devenue aussi
bonne qu'aucune autre, 9. Lors de
la guerre contre les Carthaginois,
elle était inférieure à celle de cette
nation, 16. N'était d'abord que la
onzième partie de chaque légion :
multipliée dans la suite, 86. Exercée

à tirer de l'arc, 94.

Censeurs. Quel était le pouvoir de ces

magistrats, 37. Ne pouvaient pas

destituer un magistrat, 38. Leurs

fonctions par rapport au cens, 39.

Centuries. Servius Tullius divise le

peuple romain par centuries, 38.

CESAR. Parallèle de ce Romain avec

Pompée et Crassus, 47. Donne du

dessous à Pompée, 48. Ce qui le met

en état d'entreprendre sur la liberté

de sa patrie, ibid. Effraie autant

Rome qu'avait fait Annibal, 49. Ses

grandes qualités firent plus pour son

élévation que sa fortune tant vantée,

ibid. Poursuit Pompée en Grèce

ibid. Si sa clémence mérite de grands

éloges, 50. Si l'on a eu raison de

vanter sa diligence, ibid. Tente de

se faire mettre le diadème sur la tête,

51. Méprise le sénat, et fait lui-même

des sénatus-consultes, ibid. Conspi-

ration contre lui, 52. Si l'assassinat

de César fut un vrai crime, ibid.

Tous les actes qu'il avait faits, con-

firmés par le sénat après sa mort, 53.

Ses obsèques, ibid. Ses conjurés fi-

nissent presque tous leur vie mal-

heureusement, 56. Parallèle de César

avec Auguste, 58 et suiv. Extinction

totale de sa maison, 68.

Champ de Mars, 7.

Change (variations dans le). On en tire
des inductions, 102.
Chemins publics. Bien entretenus chez
les Romains, 9.

Chevaux. On en élève en beaucoup
d'endroits qui n'en avaient pas, 104.

Chrétiens. Opinion où l'on était dans

l'empire grec qu'il ne fallait pas ver-

ser le sang des Chrétiens, 101.

Christianisme. Ce qui facilita son éta-

blissement dans l'empire romain, 73.

Les Païens le regardaient comme la

cause de la chute de l'empire romain,

88 et suiv. Fait place au mahomé-

tisme dans une partie de l'Asie et

de l'Afrique, 102, Pourquoi Dieu

permit qu'il s'éteignît dans tant d'en-

droits, 103.

CICERON. Sa conduite après la mort de
César, 53. Travaille à l'élévation
d'Octave, 54. Parallèle de Cicéron
avec Caton, ibid.
Civiles (guerres). Celles de Rome
n'empêchent point son agrandisse-
ment, 49. En général, elles rendent
un peuple plus belliqueux et plus for-
midable à ses voisins, ibid. De deux
sortes en France, 58.
CLAUDE, empereur. Donne à ses offi-
ciers le droit d'administrer la jus-
tice, 67.

Clémence. Si celle d'un usurpateur heu-
reux mérite de grands éloges, 50.
CLEOPATRE. Fuit à la bataille d'Ac-
tium, 57. Avait sans doute envie de
gagner le cœur d'Octave, ibid.

CONSTANT, petit-fils d'Héraclius par
Constantín. Tué en Sicile, 104.
CONSTANTIN. Transporte le siége de
l'empire en Orient, 80. Distribue du
blé à Constantinople et à Rome, ibid.
et suiv. Retire dans l'intérieur des
provinces les légions romaines placées

sur les frontières : suite de cette in-

novation, 82.

CONSTANTIN fils d'Héraclius. Empoi-

sonné, 104.

CONSTANTIN-LE-BARBU, fils de Cons-

tant. Succède à son père, 104.

Constantinople. Ainsi nommée du nom

de Constantin, 80. Divisée en deux

factions, 97. Pouvoir immense de

ses patriarches, 107. Se soutenait,

sous les derniers empereurs grecs,

par son commerce, 110 et suiv.

Prise par les croisés 113. Reprise
par les Grecs, ibid. Son commerce
ruiné, ibid.

CONSTANTIUS. Envoie Julien dans les
Gaules,
82.
Consuls annuels. Leur établissement à
Rome,
3
CORIOLAN. Sur quel ton le sénat traite
avec lui, 18.

Courage guerrier. Sa définition, 9.
Croisades, 112 et suiv.

Croisés. Font la guerre aux Grecs, et
couronnent empereur le comte de
Flandre, 113. Possèdent Constanti-
nople pendant soixante ans, ibid.
Cynocéphales (journée des). Philippe
y est vaincu par les Etoliens unis aux
Romains, 22.

Danoises (troupes de terre). Presque
toujours battues par celles de Suède
depuis près de deux siècles, 86.
Danse. Chez les Romains n'était point
un exercice étranger à l'art militaire,8,
Décadence de la grandeur romaine.
Ses causes, 39 et suiv. 1o. Les guer-
res dans les pays lointains, 40. 2°. La
concession du droit de bourgeoisie
romaine à tous les alliés, 41.3o. L'in-
suffisance de ses lois dans son état
de grandeur, 42. 4o. La dépravation
des mœurs, 43. 5o. L'abolition des
triomphes, 59. 6o. L'invasion des
barbares dans l'empire, 78 et go.
70. Les troupes de barbares auxiliaires
incorporées en trop grand nombre
dans les armées romaines, 85. Com-
paraison des causes générales de la
grandeur de Rome avec celles de sa
décadence, 86, et suiv.

Décadence de Rome. Imputée par les
Chrétiens aux Païens, et par ceux-ci
aux Chrétiens, 88 et suiv.
Décemvirs. Préjudiciables à l'agran-
dissement de Rome, 5. Voyez Duum-

virs.

Deniers. Distribués par les triompha-
teurs, 69.
Dénombrement des habitans de Rome.
Comparé avec celui qui fut fait
par
Démétrius de ceux d'Athènes, 11.
On en infère quelles étaient, lors
de ces dénombremens, les forces de
l'une et l'autre ville, ibid. et suiv.
Désertions. Pourquoi elles sont com-
munes dans nos armées.: pourquoi
elles étaient rares dans celles des Ro-
mains, 9.

Despotique. S'il y a une puissance qui
le soit à tous égards, 109.
Despotisme. Opère plutôt l'oppression
des sujets que leur union, 42.
Devins. Suivaient les armées

pour-

École militaire des Romains, 7.
Égypte. Idée du gouvernement de ce
royaume après la mort d'Alexandre,
24 et suiv. Mauvaise conduite de
ses rois, 25. Conquise par Auguste,
{ 81.

Egyptiens. En quoi consistaient leurs
principales forces, 25. Les Romains
les privent des troupes auxiliaires
qu'ils tiraient de la, Grèce, 26.
Empereurs romains. Étaient chefs nés

des armées, 60. Leur puissance gros-
sit par degrés, 62. Les plus cruels

D

quoi, 119. Subordonnés aux magis-
trats, ibid.

Dictature. Son établissement, 37.
Dieux. Divisés en trois classes, 121.
Combien les Romains comptaient de
dieux, 124 et suiv. Pourquoi ils ne fai-
saient pas attention au désordre et å
la confusion de leur mythologie, 125.
DIOCLETIEN. Introduit l'usage d'asso-
cier plusieurs princes à l'empire, 79-
Discipline militaire. Les Romains répa-
raient leurs pertes en la rétablissant
dans toute sa vigueur, 8. Adrien la
rétablit : Sévère la laisse se relâcher,
76. Plusieurs empereurs massacrés
pour avoir tenté de la rétablir, ibid.
Tout-à-fait anéantie chez les Ro-
mains, 86. Les barbares incorporés
dans les armées romaines ne veulent
pas s'y soumettre, 87. Comparaison
de son ancienne rigidité avec son re-
lâchement, ibid.

Disputes. Naturelles aux Grecs, 108.
Opiniâtres en matière de religion,
ibid. Quels égards elles méritent de
la part des souverains, 109.
Divination par l'eau d'un bassin : en
usage dans l'empire g
e grec,
101. Voyez
Augures et Devins.
Divisions. S'apaisent plus aisément
dans un état monarchique que dans
un état républicain, 13. Divisions
dans Rome, 35.

DOMITIEN, empereur. Monstre de
cruauté, 69.

DRUSILLE. L'empereur Caligula, son
frère, lui fait décerner les honneurs
divins, 67.

DUILLIUS (le consul). Gagne une ba-
taille navale sur les Carthagmois, 17,
DURONIUS (le tribun M.). Chassé du
sénat: pourquoi, 38.

Duumvirs. Leurs fonctions religieuses,
123.

n'étaient point haïs du bas peuple :
pourquoi, 66. Etaient proclamés par
les armées romaines, 68. Inconvénient
de cette forme d'élection, ibid. et
suiv. Tâchent en vain de faire res-
pecter l'autorité du sénat, 69. Suc-
cesseurs de Néron jusqu'à Vespasien,
ibid. Leur puissance pouvait paraître
plus tyrannique que celle des princes
de nos jours pourquoi, 72. Sou-
vent étrangers: pourquoi, 73. Menr-
tres de plusieurs empereurs de suite,
depuis Alexandre jusqu'à Dèce inclu-