page 65, vers 14. Elle dit: trop fidèle à son affreux message, Elle part; son vieux zéle accélère ses pas. IBID., VERS 23. Et déja dans ses traits, sur son front sans couleur, De la mort qui s'avance exprimant la pâleur... PAGE 67, VERS 11. Et mon ombre aux enfers descendra triomphante. J'ai fondé, j'ai vu naître une ville puissante. IBID., VERS 23. L'accablante nouvelle est semée en tous lieux. IBID., VERS 27. Retentissent au loin de clameurs lamentables, De hurlements plaintifs, de cris épouvantables. On diroit que, sur eux fondant de toutes parts, Une armée en fureur a brisé leurs remparts. PAGE 69, VERS 17. Avez-vous pu souffrir que ce cœur qui vous aime Et, pour PAGE 71, VERS 22. Tranche d'un même coup son malheureux destin. VARIANTES DU LIVRE CINQUIÈME. PAGE III, VERS 17. Palinure pâlit, et tremblant de terreur : Dieux! que veulent ces vents et cette onde en fureur? PAGE 113, VERS 29. Le lendemain, à peine averti par les feux, Je PAGE 117, VERS 21. puis donc voir encor ton sacré monument! De ma douleur, hélas! vain dédommagement! PAGE 119, VERS 25. Enfin la fête arrive, et la brillante aurore Ramène un jour serein qui s'empresse d'éclore. PAGE 123, VERS 17. Le signal est donné: la troupe impétueuse IBID., VERS 27. Les chefs de leurs coursiers aiguillonnent les cœurs. De douleur et de joie, aux vaincus, aux vainqueurs, On jette mille cris qui dans l'air se confondent; L'Olympe en retentit, etc. PAGE 135, VERS 5. Deux hommes la portoient, Sagaris et Phégée. Plioit sous le fardeau. PAGE 137, Vers 23. Après eux, Diorès, né du beau sang de Troie, PAGE 141, VERS 7. Quand Nisus, rencontrant le sang d'un sacrifice, (Hélas! pour lui ce sang est loin d'être propice!) IBID., VERS 11. Glisse, et se débattant sur son pied qui chancelle, Tombe, et roule étendu sur le sang qui ruisselle. PAGE 151, VERS 17. Suit le ceste des yeux, et son corps qui s'efface PAGE 161, VERS 21. Trois escadrons divers, sur une même plaine, Trois escadrons divers couvrent la même plaine; Chacun d'eux à pas lents suit le chef qui le mène. PAGE 163, VERS 15. Et des héros troyens, sur leur jeune visage, Leurs yeux avec transport reconnoissent l'image. PAGE 167, VERS 15. · A quel triste avenir le sort te garde en proie! PAGE 179, VERS 9. Cependant le héros des murs décrit le tour; Le sort marque à chacun le lieu de son séjour. PAGE 187, Vers 5. Quand le dieu du sommeil, sous les traits les plus doux, Fend l'ombre, conduisant le plus cruel de tous. T. IV. ÉNÉIDE. 11. 22 |