Journal étrangerChez J. F. Quillau, 1760 |
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Abbadonna affez ainfi Anglois au-deffous auffi avoient avoit Beccaria c'eft C'eſt caufe Cerf-volant chofe Claffes cocon compofé Concile conféquent confervé confidérable Conftitution congelation Connal connoiffance d'Ecoffe DANNEMARK David Hume degré de froid Delifle Differtation Ecoffois Ecrivains efpece efprits enfuite eſt étoient étoit expériences expofés fe font fecond fecours fentiment feroit fervir feu électrique feul fiecle fimple foit folide foudre fous fouvent froid artificiel ftyle fuccès Fuero fuffit fuivant fujet Gouvernement Hiftoire Idiaquez intéreffant j'ai Jefus jufqu'à jufte l'Abbé Pluche l'eau l'efprit l'Electricité l'Hiftoire l'ufage laiffé Langue lefquelles Lettres Loix long-tems lorfqu'il lorfque lumiere maniere Manufcrits Meffie mêlange ment Mercure n'eft n'eſt n'étoit Nabatéens Nation néceffaire Nitre nuages Obfervations Ouvrage paffage paffé paffions paroît particuliere pefe penfe Petersbourg Peuple Phyficiens plufieurs Poéfie poffible pourroit préfente prefque premiere propofe puiffe raifon Réaumur reffort refte s'eft Satan tems Thermo Thermometre tion Tolede ufage ver-à-foie vif-Argent دو دو
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5 ページ - ... pareille au bruit d'un torrent après la pluie , au tonnerre qui gronde sur des montagnes éloignées. Plusieurs sont tombés par ton bras ; ils ont été consumés par les flammes de ta colère. Mais , lorsque tu...
2 ページ - Toute la nuit elle s'écrie, elle répète tout le jour : O Connal ! ô mes amours ! ô mon bienaimé ! Plongée dans le deuil & dans les larmes, elle meurt enfin accablée de douleur.
1 ページ - ... la tombe de Connal. Ses feuilles , agitées en tourbillon par les vents, jonchent le tombeau du héros. Souvent les ames des morts fe font voir dans ce lieu , quand le chafleur folitaire & penfif le promene lentement fur la bruyere.
4 ページ - ... d'Alpin le fils de l'Harmonie , qui pleure sur les morts. Sa tête est courbée sous le poids des ans ; ses yeux rouges sont remplis de larmes. O Alpin , fils de l'Harmonie , pourquoi...
1 ページ - Ta famille s'est accrue comme un chêne planté sur la montagne , et dont la tête sublime habite parmi les vents. Mais aujourd'hui elle est arrachée de la terre. Qui remplira la place de Connal ? Ici le bruit des armes , ici les soupirs des mourans , se faisoient entendre. O guerre de Fingal ! ô sources de deuil ! ô Connal , c'est ici que tu es tombé. Ton bras étoit semblable à un tourbillon orageux , ton épée à un rayon de la lumière boréale qui parcourt...