Le genie d'Israël: poésieBerche et Tralin, 1891 - 318 ページ |
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11 ページ
... Apulée , Du dieu de Socrate , p . 144 , éd . Nisard : « Dans ces occasions , il disait entendre une certaine voix divine . » 3. Nomb . , XII , 6 . oracles avec une force extraordinaire et une sorte d'emporte- ment INSPIRATION . II.
... Apulée , Du dieu de Socrate , p . 144 , éd . Nisard : « Dans ces occasions , il disait entendre une certaine voix divine . » 3. Nomb . , XII , 6 . oracles avec une force extraordinaire et une sorte d'emporte- ment INSPIRATION . II.
194 ページ
... Apulée , Florides , 11 : « L'aigle contemple tout ce qui l'entoure ; il cherche , il choisit la proie sur laquelle il va tomber d'en haut comme la foudre ; des sommets du ciel qui dérobe sa présence , il distingue et les troupeaux dans ...
... Apulée , Florides , 11 : « L'aigle contemple tout ce qui l'entoure ; il cherche , il choisit la proie sur laquelle il va tomber d'en haut comme la foudre ; des sommets du ciel qui dérobe sa présence , il distingue et les troupeaux dans ...
256 ページ
... Apulée , Florides , XXII ; « Cratès était noble , riche , bien logé , bien vêtu . Mais plus tard il reconnut que dans toute cette fortune , il n'y avait rien de solide , aucune règle de conduite ; il vit que tout est éphémère et frivole ...
... Apulée , Florides , XXII ; « Cratès était noble , riche , bien logé , bien vêtu . Mais plus tard il reconnut que dans toute cette fortune , il n'y avait rien de solide , aucune règle de conduite ; il vit que tout est éphémère et frivole ...
272 ページ
... Apulée , Apologie , p . 213-216 : Bel éloge qu'il fait de la pauvreté : « Ce qui fait la supériorité des dieux , c'est qu'ils n'ont nul besoin ; par conséquent l'homme qui a le moins de besoin est celui qui se rapproche le plus de la ...
... Apulée , Apologie , p . 213-216 : Bel éloge qu'il fait de la pauvreté : « Ce qui fait la supériorité des dieux , c'est qu'ils n'ont nul besoin ; par conséquent l'homme qui a le moins de besoin est celui qui se rapproche le plus de la ...
280 ページ
... Apulée , Doct . de Platon , 1 , p . 152 : « Les éléments existaient primitive- ment sans ordre et dans une entière confusion ; c'est Dieu , cet architecte du monde , qui les réduisit en ordre sous l'empire des nombres et de la mesure ...
... Apulée , Doct . de Platon , 1 , p . 152 : « Les éléments existaient primitive- ment sans ordre et dans une entière confusion ; c'est Dieu , cet architecte du monde , qui les réduisit en ordre sous l'empire des nombres et de la mesure ...
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13 ページ - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
237 ページ - Roi de ses passions, il a ce qu'il désire. Son fertile domaine est son petit empire, Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau...
260 ページ - Non, après ce que nous venons de voir, la santé n'est qu'un nom, la vie n'est qu'un songe, la gloire n'est qu'une apparence, les grâces et les plaisirs ne sont qu'un dangereux amusement: tout est vain en nous, excepté le sincère aveu que nous faisons devant Dieu de nos vanités, et le jugement arrêté qui nous fait mépriser tout ce que nous sommes.
302 ページ - Ce qui fit leur bonheur deviendra leur torture; Et Dieu, de sa justice apaisant le murmure, Livrera ces méchants au pouvoir infernal. Justes, ne craignez point le vain pouvoir des hommes; Quelque élevés qu'ils soient, ils sont ce que nous sommes Si vous êtes mortels, ils le sont comme vous.
128 ページ - J'ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant ; Au midi de mes années Je touchais à mon couchant : La mort , déployant ses ailes , Couvrait d'ombres éternelles La clarté dont je jouis ; Et , dans cette nuit funeste , Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu, votre main réclame Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus...
197 ページ - ... qu'elle se pose sur le haut de quelque rocher, porter de tous côtés des regards perçants, et tomber si sûrement sur sa proie, qu'on ne peut éviter ses ongles non plus que ses yeux.
127 ページ - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
236 ページ - La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée, Et, lasse de parler, succombant sous l'effort, Soupire, étend les bras, ferme l'œil, et s'endort.
199 ページ - Une tête effilée, une croupe arrondie ; On voit sur son poitrail ses muscles se gonfler, Et ses nerfs tressaillir, et ses veines s'enfler. Que du clairon bruyant le son guerrier l'éveille, Je le vois s'agiter, trembler, dresser l'oreille; Son épine se double et frémit sur son dos; D'une épaisse crinière il fait bondir les flots ; De ses naseaux brûlants il respire la guerre ; Ses yeux roulent du feu, son pied creuse la terre.
65 ページ - Pharamond! Pharamond! nous avons combattu avec l'épée. «Nous avons lancé la francisque à deux tranchants; la sueur tombait du front des guerriers et ruisselait le long de leurs bras. Les aigles et les oiseaux aux pieds jaunes poussaient des cris de joie; le corbeau nageait dans le sang des morts ; tout l'Océan n'était qu'une plaie : les vierges ont pleuré longtemps ! «Pharamond!