Par une étroite fenêtre Elle aperçoit son cher amant partir. Or, adieu donc, ma douce amie, Quand tu sauras de mes nouvelles, Au bout d'un mois ou cinq semaines Et il tira de sa poche Un anneau d'or tout ensanglanté; Le regarda d'un oeil farouche: Ich übergehe Anderes, um zum Schlusse zu kommen, bei welchem, wie ich meine, es sich verlohnen dürfte, einen Blick auf französische Hochzeiten und Polterabende zu werfen. Und in der That ist man namentlich im Süden Frankreichs, ebenso wie bei uns an den Polterabenden, stark darin, den Neuzuvermählenden in einem sogenannten charivari noch allerhand Unliebsames vorzusingen, das man theils aus ihrem früheren Leben zusammengetragen theils aber auch erdichtet hat. Es würde sich hier, ebenso wie bei unseren Hochzeiten, um Gelegenheitsgedichte handeln, an welchen die Muse meistens unschuldig ist: aber obgleich ich auch derartige Gedichte gesammelt habe, will ich sie hier doch als ganz moderne Ergüsse der Poësie ausschliessen. Vielmehr möchte ich die Aufmerksamkeit auf die berühmte chanson de la mariée hinlenken, welche ziemlich über ganz Frankreich verbreitet ist und die schon Mme de Sévigné ihrer Zeit mit Vergnügen auf den Hochzeiten der Bre tagne singen hörte. Sie findet sich auch in der Sammlung der Mme de Chabreul S. 179 und lautet: 1. Nous sommes v'nus ce soir, Du fond de nos bocages, De votre mariage A monsieur votre époux, 2. Vous voilà donc liée, Madame la mariée, Avec un lien d'or Qui ne délï' qu'à la mort.*) 3. Avez-vous bien compris Ce qu'il vous fallait être: Et l'aimer comme vous. 4. Quand on dit son époux, D'être toute leur vie. 5. Vous n'irez plus au bal, Madame la mariée: *) Eine, wie es mir scheint, bessere und vielfach verbreitete Variante zu diesem couplet ist folgende: Enfin vous voilà donc, Ma belle mariée, Enfin vous voilà donc A votre époux liée Avec un long fil d'or Qui ne rompt qu'à la mort. Vous n'irez plus au bal, 6. Quand vous aurez chez vous 7. Quand vous aurez chez vous 8. Si vous avez chez vous 9. Recevez ce gâteau Que ma main vous présente; Il est fait de façon A vous faire comprendre Qu'il faut, pour se nourrir, Travailler et souffrir. 10. Recevez ce bouquet Que ma main vous présente, Il est fait de façon A vous faire comprendre Que tous les vains honneurs Passent comme les fleurs.*) Rührend ist es ferner, dass in manchen Gegenden, wo stehende Gesänge für eine Neuvermählte vorhanden sind, eben dieselben von den übrigen Jungfrauen gesungen werden, wenn eine aus ihrem Kreise frühzeitig dahingeschieden ist und sich so dem Himmel neu vermählt hat. Ich könnte derartige Gebräuche aus dem Norden Frankreichs erwähnen: ich will aber lieber auf ein Meisterwerk Jasmins, die Blinde aus CastelCuillé (vergl. Las Papillôtos Thl. II, S. 51 und 77) verweisen, in das er einen dieser volksthümlichen Refrains verwebt hat. Für die Neuvermählte heisst er: Las carrèros diouyon flouri, [Les chemins devraient fleurir, für die Abgeschiedene dagegen: Las carrèros diouyon gemi, Tan bèlo morto bay sourti! *) Der Varianten und Erweiterungen zu dieser chanson de la mariée giebt es unzählige. So habe ich anstatt des letzten couplet's folgendes in der Touraine gehört: Recevez ce bouquet Fait de notre tendresse. C'est pour vous qu'il est fait, Regardez-le sans cesse, Et n'oubliez jamais Nos sensibles regrets. - Als Erweiterungen füge ich folgende zwei couplets an: Vous Et puis soyez Et surtout n'allez pas Par trop de complaisance mettre dans le cas De perdre l'innocence. toujours Soumise à votre époux. L'époux que vous prenez, - L'on dit qu'il est très-sage, Qu'il est plein de façon Pour conduire un ménage. prévenez en tout Et l'aimez comme vous. Archiv f. n. Sprachen. XXXI. 5 |