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Ketzer im Genuss des Seinigen sähe: denn was sollte dann aus ihm werden? Es gäbe viele Eingänge, um zu der Stellung zu gelangen, welche er inne hätte, aber nur einen Ausgang, den Tod. Wäre ein König nöthig, so möchten sie ihn wählen; sie würden sich wohl dabei befinden. Am besten sei es, den Krieg weiter zu führen, da der Friede einem Jeden das Seine wiedergäbe. Der Cardinal von Lyon, die guten Prediger und die Sorbonne hätten ihn belehrt, dass es nicht in der Macht Gottes läge, einem abtrünnigen Ketzer zu verzeihen, und dass sogar der Papst ihm nicht die Absolution geben könnte. Fort also aus dem Kirchengebete mit den Worten: Da pacem, Domine.

Nach dieser fulminanten Rede erhob sich der Doyen de Sorbonne grand Dataire du Légat und rief: Humiliate vos ad benedictionem et postea habebitis Haranguam.

Es folgt die Rede des päpstlichen Legaten, Cardinal de Plaisance (S. 74 ff.), die theils italienisch, theils lateinisch geschrieben ist, über Evangelium Matthaei 10, 34: Ihr sollt nicht wähnen, dass ich gekommen sei, Frieden zu senden auf Erden. Ich bin nicht gekommen, Frieden zu senden, sondern das Schwert." Er empfiehlt die Candidatur der Infantin Isabelle von Spanien, der Tochter seines grossen Wohlthäters Philipp.

Interessanter ist die folgende Rede des Cardinals de Pelvé oder Pellevé. Dieser, eine Creatur der Lothringer, begann ebenso wie seine erhabenen Vorbilder, seine Carrière mit Undank, *) brachte es durch sie zum Cardinalshut (1570), und vertrat 25 Jahre lang beim apostolischen Stuhle ihre Interessen.

Er galt für sehr dumm und tactlos **)

*) Vergl. Thou tom. I. liv. III. p. 239: Nicolas de Bossut Seigneur de Longueval, vaillant homme et fort aimé de François I., vit sa vie exposée au dernier danger. On lui fit son procès, et il ne put éviter la mort qu'en faisant présent de sa belle maison de Marchez à l'Archévêque de Rheims, qui fit semblant de l'acheter. On prétend que l'Entremetteur de ce honteux marché de l'Archévêque de Rheims fut Nicolas Pellevé, Fils de la Sœur de Longueval, qui ne fit pas difficulté de trahir son Oncle, pour s'insinuer par cette perfidie dans les bonnes graces de la Maison de Guise. Pellevé étoit un homme de néant, qui fut élevé dans la suite aux plus hautes Dignités par les Princes de cette Maison; et qui étant monté à la fin jusqu'au Cardinalat, parvint pour son propre deshonneur, autant que pour le malheur de la France, à la plus longue vieillesse.

**) Eben dadurch zeichnete sich auch die Rede aus, die er wirklich auf dieser Ständeversammlung hielt; vergl. Thou tom. VIII, liv. CV, p. 224:

und der Stempel beider Untugenden ist seiner Rede aufgeprägt. Ursprünglich hatte er eine lateinische Rede für den Tag der Bekehrung Pauli ausgearbeitet, leider aber kommt er erst am nächsten Tage, S. Polycarpe, zum Sprechen und will nun ungeschickter Weise das einmal Ausgearbeitete anpassen. Zunächst entscheidet er sich für einen lothringischen König, nebenbei aber schleudert er dem Herzoge von Mayenne in's Gesicht, dass er vielleicht andere Pläne habe, denn er sei sehr versteckten Charakters: noch im selben Athemzuge preist er seinen allerkatholischsten König Philipp von Spanien. lateinisch; damit ihn indessen die Deputirten verstehen, will er französisch sprechen, obschon er wegen seiner langen Abwesenheit diese Sprache beinahe verlernt habe. Wären seine Intriguen während dieser Zeit in Rom geglückt, so würde jetzt der ermordete Herzog von Guise auf dem Throne sitzen. Er bekenne sich zum Schüler des Hippokrates (er verspricht sich aber und sagt hypocrite statt Hippocrate), und wie dieser seiner Zeit, um die Pest zu vertilgen, grosse Feuer habe anzünden lassen, so habe auch er für die Feuer gesorgt, die beinahe das ganze Königreich verbrannt hätten. Unter Strafe der Excommunication müsse jeder gute Katholik glauben, dass der König von Spanien die Hälfte seiner Staaten gern verlieren würde, um alle Fran

On avoit fixé l'ouverture de l'Assemblée au 25. de Janvier, jour de la fête de la conversion de Saint-Paul; mais les députés n'ayant pû s'assembler ce jour-là, on ne commença que le lendemain, jour de la fête de S. Polycarpe. L'Assemblée se tint dans le Louvre, où l'on avoit dressé un théâtre. Ce retardement fut fâcheux pour le Cardinal de Pellevé, qui avoit préparé un discours sur la conversion de S. Paul, et qui fit des efforts aussi inutiles que ridicules, pour ajuster ce qu'il avoit à dire à la fête de S. Polycarpe. Après que le Duc de Mayenne eût fait un petit discours, le Cardinal parla en vieillard, et dit bien des choses inutiles, et hors de saison; ensorte que bien loin d'attirer l'attention de l'Assemblée, il fit rire la plûpart de ceux qui la composoient. En faisant l'éloge de la France, il assûra, en présence de Dom Diegue d'Ibarra, Ambassadeur d'Espagne, que la Normandie, dont le Cardinal étoit originaire, et d'une maison distinguée, étoit plus étenduë et plus opulente que le Royaume de Naples. Il dit encore que les Princes, comme les hommes de la plus basse condition, étoient également exposés aux caprices de la fortune et aux maladies. Il jetta en même temps la vûë sur le Duc de Mayenne, et sembla lui addresser ces paroles. I osa même employer pour preuve de ce qu'il avançoit l'exemple de ce Prince, qui, comme tout le monde le sçavoit, relevoit d'une maladie honteuse,

zosen zu guten Katholiken zu machen und die heilige Inquisition in Frankreich einzuführen. Ob man denn glaubte, der Herr von so viel Königreichen, dass er sie nicht zählen könnte, sollte so was Kleines*) wünschen, als die Herrschaft über Frankreich? Schliesslich giebt er seine Stimme behufs der Königswahl dem lothringischen Prinzen Marquis de Chaussins: er verspricht sich aber und sagt Marquis des Chaussons.

Seine Rede wird mit stürmischem Applaus aufgenommen, und sogleich hört man von Seiten der Versammlung folgende zwei quatrains:

I. Son éloquence il n'a pu faire voir,

Faute d'un Livre où est tout son sçavoir:
Seigneurs Estats, excusez ce bon homme:
Il a laissé son Calepin à Rome.

II. Les freres ignorants ont eu grande raison
De vous faire leur Chef, Monsieur l'Illustrissime:
Car ceux qui ont oüy vostre belle Oraison,
Vous ont bien recognu pour ignorantissime.

Darauf spricht (S. 96 ff.) der Erzbischof von Lyon, einer der anrüchigsten Menschen jener Zeit, also: O Gott, wie sind deine Wege so wunderbar und unbegreiflich! Wie ist die Ligue jetzt so fromm und heilig, **) sie, deren Mitglieder vor dem Barrikadentage fast sämmt

*) S. M. S. 92. Die ganze Stelle lautet: Penseriez-vous bien que luy qui est Seigneur de tant de Royaumes qu'il ne les peut compter par les lettres de l'Alphabet, comme Charles - Magne faisoit ses Monasteres, et si riche qu'il ne sçait que faire de ses tresors, voulust se mettre seulement en peine de souhaiter si petite chose que la Seigneurie de France? Toute l'Europe, par manière de dire, ne luy est pas une contrée de ces nouvelles Isles conquises sur les Sauvages: quand il suë, ce sont des Diadesmes: quand il se mouche, ce sont des Couronnes: quand il rote, ce sont des Sceptres: quand il va à ses affaires, ce ne sont que Comtez et Duchez qui lui sortent du corps, tant il en est farcy et remply. Non eripit mortalia, qui regna dat cœlestia.

**) Als einen besondern Heiligen der Ligue erwähnt er Rosne, über den zu vergl. S. M. S. 98. Anm. 106. En la Confession des piliers de l'union Rosne parle ainsi :

De ne point croire en Dieu, je le tiens à loüange;

Les pillages, le meurtre et les femmes forcez

lich gebrandmarkte Subjecte waren.

Der Atheismus hat sich in Fa

Diener

natismus umgewandelt, Diebstahl in Tapferkeit, Unterschleif in Frömmigkeit, kurz, Laster und Verbrechen in Ruhm und Ehre. sind Herren geworden, Kleine gross, Arme reich, Niedrige hoffärtig. Leute aus der Hefe des Volks spielen ferner überall die Obrigkeiten. Drum sei Gott gedankt, denn diese Leute müssen fest bei der Ligue ausharren. Schon an Jacques Clément hat sich ihre Heiligkeit erprobt; er, seiner Zeit der lüderlichste in seinem Kloster, ist jetzt ein heiliger Märtyrer und streitet sich an Gottes Throne um den Vorsitz mit St. Jago de Compostella. Auch an mir hat sich die Heiligkeit der Ligue bewährt, ich war in meiner Jugend Calvinist und hatte nach dem Vorbilde der heiligen Patriarchen mit meiner eigenen Schwester ein zartes Verhältniss; *) aber seitdem ich die Ligue unterzeichnet, die

Ce sont mes passe-temps et jamais, pour parler,
Je n'ay crû Paradis, Enfer, ny Saints, ny Anges.
D'avoir trahy le Roy, la France et mes amis
J'ay crû faire tout bien, puis que la Ligue sainte,

Le nous avoit permis, etc.

*) S. M. S. 106. Anm. 112. En la Confession des Chefs de l'Union, l'Archevesque de Lion parle ainsi:

Je suis né à l'inceste, et dés mon premier âge
J'ay de ma belle sœur abusé longuement:
Puis avecque ma sœur, je couche maintenant :
Ayant pour cet effet rompu son mariage.
Toutefois, Pere Saint, j'ay grande confiance,
Qu'ayant executé ma resolution

D'employer vie et biens pour la sainte Union:

Le merite est plus grand, que n'est grande l'offense.

womit zu vergl. Thou tom. VII, liv. XC, p. 174: Pierre d'Espinac, Archévêque de Lyon, étoit un homme naturellement fier de sa naissance, violent outre cela et d'une éloquence vive, qui ayant suivi autrefois la doctrine des Protestans, se faisoit un mérite de se déclarer par-tout leur ennemi mortel, depuis qu'il les avoit abandonnés. Un jour ce Prélat s'étant répandu en invectives, en présence du Roi (Heinrich des III. im Jahre 1588), contre le Roi de Navarre, jusqu'à dire qu'il étoit indigne de succéder à la Couronne; le Duc d'Epernon (der Günstling Heinrichs des III.), outré de l'insolence de cet emporté, lui demanda à son tour, en présence de toute la Cour, si un homme convaincu d'avoir mauvais commerce avec sa propre sœur, qui faisoit un trafic de tout ce qu'il y avoit de plus sacré, et qui, non content de s'être ruiné par ses débauches, avoit encore mangé le bien de sa famille, étoit digne d'occuper une des premieres places de l'Eglise? L'Archévêque n'ignoroit

Dublonen Spaniens angenommen und Aussicht auf den Cardinalshut empfangen habe, zweifelt Niemand mehr an meinem Glauben. Kein Zweifel also, dass wir festhalten müssen an dieser heiligen Verbindung, die so viel Wunder gewirkt hat. Kann man ausserdem einen dickeren und fetteren König verlangen, als den Herzog von Mayenne? Ihr Herren der Ligue, die ihr Abgaben erhebt, ohne Rechenschaft ablegen zu müssen, seid ihr damit nicht zufrieden? Ihr seid alle an eurem Platze König. Also Krieg, bis ich den Cardinalshut habe; und warum sollte ich ihn nicht bekommen? habe ich doch, um dem heiligen Stuhle zu dienen, meinen Herrn verlassen und mein Vaterland verrathen.

Es folgt die Rede (S. 114 ff.) des Rectors der Sorbonne, Rose, *) [jadis Evesque de Senlis]. Er ist darin meisterhaft als Pedant gezeichnet und compromittirt alle seine Complicen. Nie, sagt er, habe die Universität bessere Sitten gezeigt, es seien nämlich die Taugenichtse von Studenten gleich anfangs fortgezogen. Dafür hätten die Landleute aus den benachbarten Dörfern, welche sich in die leeren Sääle geflüchtet, die baccalaurei und magistri gespielt, de inventione nämlich über Auffindung von Lebensmitteln disputirt und als Autodidacten, ohne einen andern Lehrmeister als Mayenne, per regulas, Hun

pas que c'étoit-là le portrait qu'on faisoit ordinairement de lui. Il ne douta donc point que ce ne fût lui que le Duc vouloit désigner, et il fut sensible à cet affront à l'excès. Il en demanda satisfaction au Roi; mais ce fut inutilement: c'est-ce qui le porta à embrasser ouvertement le parti de la Ligue, ce qu'il n'avoit point encore fait; puisqu'au contraire il avoit paru n'en prendre aucun jusqu'alors; et comme il étoit naturellement violent et vindicatif, on croit que ce fut lui qui engagea le Duc de Guise à précipiter l'exécution de ses projets, et qui par-là fut la cause de sa perte.

*) S. M. S. 114. Anm. 115. Ce Rose estoit pedant en l'Vniversité de Paris; Grand Maistre du Collége de Navarre, puis Evesque de Senlis: mais durant la rebellion de Paris il n'en jouissoit pas, c'est pourquoy il dit; jadis Evesque de Senlis. Dans la Confession generale des Chefs de l'Union il parle ainsi:

O ingrat que je suis, j'ay mon maistre blamé:
J'ay avancé sa mort en preschant la vengeance,
La cruauté, le sang, le pillage en la France:
Bref en tous mes sermons j'ay tousiours blasphemé.
Sous feinte hypocrisie j'ay caché l'adultere;
De l'enfant que j'ay fait à la belle Nevilly.
Lors qu'en la confessant son premier fruit cueilly;
J'ay presché ton pouvoir, pardonne-moy Saint Pere.

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