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cet égard, 483. — · Ce qu'on appelait census ou cens ne se levait que sur eux, dans les commencements de la monarchie, 489. — Ceux qui n'étaient affranchis que par lettres du roi n'acquéraient pas une pleine et entière liberté, ibid. erfs de la glebe. Le partage des terres qui se fit entre les barbares et les Romains, lors de la conquête des Gaules, prouve que les Romains ne furent pas tous mis en servitude, et que ce n'est point dans cette prétendue servitude générale qu'il faut chercher l'origine des serfs de la glèbe, 481 et suiv. Voyez Servitude de la glèbe.

erment. Les Romains en étaient religieux observateurs, 126. 148.- Les Grecs ne l'étaient point du tout, ibid.- Les Romains devinrent par la suite moins exacts sur cet article, 148, 149. Combien lie un peuple vertueux, 249. — Quand on doit y avoir recours en jugement, 343. Servait de prétexte aux clercs pour saisir leurs tribunaux même des matières féodales, 466, not. 7. erment judiciaire. Celui de l'accusé, accompagné de plusieurs témoins qui juraient aussi, suffisait, dans les lois barbares, excepté dans la loi salique, pour le purger, 446.

Remède

que l'on employait contre ceux que l'on prévoyait devoir en abuser, ibid. — Celui qui, chez les Lombards, l'avait prété pour se défendre d'une accusation, ne pouvait plus -être forcé de combattre, 447. - Pourquoi Gondebaud lui -substitua la preuve par le combat singulier, 448. Où et comment il se faisait, 450, not. I. ERTORIUS. Aimait mieux périr que de faire quelque chose dont Mithridate pùt tirer avantage, 172.

ervices. Les vassaux, dans les commencements de la monarchie, étaient tenus d'un double service; et c'est dans cette obligation que l'auteur trouve l'origine des justices seigneuriales, 491 et suiv.

ervice militaire. Comment se faisait dans les commencements de la monarchie, 490 et suiv.

servitude. Les politiques ont dit une absurdité, quand ils ont fait dériver la servitude du droit qu'ils attribuent faussement au conquérant de tuer les sujets conquis, 257. - Cas unique où le conquérant peut réduire en servitude les sujets conquis, ibid. - Cette servitude doit cesser avec la cause qui l'a fait naître, ibid. — L'impôt par tête est celui qui lui est le plus naturel, 297. — Sa marche est un obstacle à son élablissement en Angleterre, 306. Combien il y en a de sortes, 311.-Celle des femmes est conforme au génie du pouvoir despotique, 318. — Pourquoi règne en Asie, et la liberté en Europe, 325.- Est naturelle aux peuples du Midi, 357. 358. Voyez Esclavage.

Servitude de la glėbe. Ce qui a fait croire que les barbares qui conquirent l'empire romain firent un règlement général qui imposait cette servitude. Ce règlement, qui n'exista jamais, n'en est point l'origine : où il faut la chercher, 483 et suiv.

Servitude domestique. Ce que l'auteur entend par ces mots, 315, 316. Indépendante de la polygamie, 319.

Servitude politique. Dépend de la nature du climat, comme la civile et la domestique, 322 et suiv.

SERVIUS TULLIUS. Comment divisa le peuple romain, 145, 146.

- Ce qui résulta de cette division, 194. - Comment monta au tróne. Changement qu'il apporta dans le gouvernement de Rome, 272. — - Sage établissement de ce prince pour la levée des impôts à Rome, 279, 280. Rétablit les lois de Romulus et de Numa sur le partage des terres, et en fit de nouvelles, 434. - Avait ordonné que quiconque ne serait pas inscrit dans le cens serait esclave. Cette loi fut conservée. Comment se faisait-il donc qu'il y eût des citoyens qui ne fussent pas compris dans le cens? 436.

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Sexes. Le charme que les deux sexes s'inspirent est une des lois de la nature, 191, 192. — L'avancement de leur puberté et de leur vieillesse dépend des climats, et cet avancement est une des règles de la polygamie, 316. SEXTILIUS RUFUS. Blàmé par Cicéron de n'avoir pas rendu une succession dont il était fidéicommissaire, 436.

SEXTUS. Son crime fut utile à la liberté, 290.

SEXTUS PEDUCEUS. S'est rendu fameux pour n'avoir pas abusé d'un fideicommis, 436.

Siamais. Font consister le souverain bien dans le repos : raisons physiques de cette opinion. Les législateurs la doivent combattre, en établissant des lois toutes pratiques, 302.-Toutes les religions leur sont indifférentes. On ne dispute jamais chez eux sur cette matière, 421.

Sibérie. Les peuples qui l'habitent sont sauvages, et non barbares, 328.- - Voyez aussi 34, et le mot Barbares. Sicile. Est devenue déserte, 76. - - Était pleine de petits peuples et regorgeait d'habitants avant les Romains, 397. SIDNEY. Que doivent faire, selon lui, ceux qui représentent le corps d'un peuple, 266.

Siéges. Causes de ces défenses opiniâtres et de ces actions dénaturées que l'on voit dans l'histoire de la Grèce, 475. SIGISMOND. Est un de ceux qui recueillirent les lois des Bourguignons, 439.

SIMON, comte DE MONTFORT. Est auteur des coutumes de ce comté, 469.

Sincérité. Cette vertu est odieuse à la cour, 5, 6.

SIXTE V. Sembla vouloir renouveler l'accusation publique contre l'adultère, 24.

Société. Scrupule avec lequel quelques Français en observent les devoirs, 60, 61. Ce que c'est : quelle en est l'origine, 64.- Comment les hommes sont portés à vivre en société, 191, 192.- Ne peut subsister sans gouvernement, 192. C'est l'union des hommes, et non pas les hommes mêmes : d'où il suit que, quand un conquérant aurait le droit de détruire une société conquise, il n'aurait pas celui de tuer les hommes qui la composent, 257. - Il lui faut, même dans les Etats despotiques, quelque chose de fixe : ce quelque chose est la religion, 422.

Sociétés. Dans quel cas ont droit de faire la guerre, 256. Sœur. Il y a des pays où la polygamie a fait déférer la succession à la couronne aux enfants de la sœur du roi, à l'exclusion de ceux du roi même, 424, 425. — Pourquoi il ne lui est · pas permis d'épouser son frère, 428. - Peuples chez qui ces mariages étaient autorisés pourquoi, 212, 428. SOLAR, grand prieur. Lettres à, 650, 657. Soldats. Pourquoi la fatigue les fait périr, 128. — nation en fournit à présent : ce qu'elle en fournissait autrefois, 130.-Quoique vivant dans le célibat, avaient, à Rome, le privilége des gens mariés, 401.

Ce qu'une

Soleil. Les Guèbres lui rendent un culte, 47. - Ils l'honoraient principalement dans la ville sainte de Balk, ibid.

SOLIGNAC. Lettre à ce secrétaire de la société littéraire de Nancy, 660.

Solitaires de la Thébaide. Ce qu'on doit penser des prodiges qui leur sont arrivés, 63, 64.

SOLON. Comment divisa le peuple d'Athènes, 194.-Comment corrigea les défectuosités des suffrages donnés par le sort, 195.- Contradiction qui se trouve dans ses lois, 212. — Comment bannit l'oisiveté, 214. — Loi admirable par laquelle il prévint l'abus que le peuple pourrait faire de sa puissance dans le jugement des crimes, 229. - Corrige à Athènes l'abus de vendre les débiteurs, 289. — Ce qu'il pensait de ses lois devrait servir de modèle à tous les législateurs, 343.Abolit la contrainte par corps à Athènes : la trop grande généralité de cette loi n'était pas bonne, 354. — A fait plusieurs lois d'épargne dans la religion, 418. — La loi par laquelle il autorisait, dans certains cas, les enfants à refuser la subsistance à leurs pères indigents, n'était bonne qu'en partie, 424. — A quels citoyens il accorda le pouvoir de tester, pouvoir qu'aucun n'avait avant lui, 434. -Justification d'une de ses lois, qui parait bien extraordinaire, 471. Cas que les prêtres égyptiens faisaient de sa science, 488

Somptuaires. Voyez Lois somptuaires.

Sophi de Perse. Détrôné de nos jours pour n'avoir pas assez versé de sang, 203.

Soporifique singulier, 102, 103.

Sorbonne. Travaille pendant deux ans à attaquer l'Esprit des Lois, 668.

Sort. Le suffrage par le sort est de la nature de la démocra

tie; est défectueux : comment Solon l'avait rectifié à Athènes, 194, 195. — - Ne doit point avoir lieu dans une aristocratie, 195.

Sortie du royaume. Devrait être permise à tous les sujets d'un prince despotique, 293.

Sots (les). Sont gouvernés par les gens d'esprit, 626. Soudans. Leur commerce, leur richesse et leur force, après la chute des Romains en Orient, 373.

Soufflet. Pourquoi est encore regardé comme un outrage qui ne peut se laver que dans le sang, 451.

Souillures. Comment elles se contractent dans la loi musulmane, 12.

Souper (le). Tue la moitié de Paris, 627.
Sourd. Pourquoi ne pouvait pas tester, 435.

Souverains. Doivent chercher des sujets et non des terres, 71.
Moyen fort simple dont usent quelques-uns pour trouver
qu'il est bien aisé de gouverner, 198. — Dans quel gouver-
nement le souverain peut être juge, 229.
Sparte. Peine fort singulière en usage dans cette république,
232. Voyez Lacédémone.

Spartiates. N'offraient aux dieux que des choses communes, afin de les honorer tous les jours, 418. Voyez Lacédé

mone.

Spectacles. Révolutions qu'ils causèrent à Rome, par l'impression qu'ils faisaient sur le peuple, 275, 290. SPINOSA. Son système est contradictoire avec la religion naturelle, 536.

Spinosisme. Quoiqu'il soit incompatible avec le déisme, le nouvelliste ecclésiastique les cumule sans cesse sur la tête de Montesquieu : preuves qu'il n'est ni spinosiste ni deiste, 529 et suiv.

Spiritualité. Nous ne sommes guère portés aux idées spirituelles, et nous sommes fort attachés aux religions qui nous font adorer un être spirituel, 415.

STAINVILLE (Lettre au marquis de), au sujet de l'Esprit des Lois, 654.

STANISLAS. Fragments d'une lettre à ce roi, et de la réponse,

660.

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Stérilité des terres. Rend les hommes meilleurs, 327. Stoiciens. Leur morale était, après celle des chrétiens, la plus propre pour rendre le genre humain heureux : détail abrégé de leurs principales maximes, 409. Niaient l'immortalité de l'âme : de ce faux principe ils tiraient des conséquences admirables pour la société, 412. L'auteur a loué leur morale, mais il a combattu leur fatalité, 532. Le nouvelliste les prend pour des sectateurs de la religion naturelle, tandis qu'ils étaient athées, 535, 536. Stoicisme. Favorisait le suicide chez les Romains, 155. — · En quel temps il fit plus de progrès parmi eux, 164. Stuart. Lettre au prince Édouard, 649.

Style (le.) Enflé et emphatique, est plus aisé, 628. Subordination. Ce n'est pas assez de la faire sentir, il faut la faire pratiquer, 42. Des citoyens aux magistrats. Donne la force aux lois, 215.- Des enfants à leur père. Utile aux mœurs, ibid. Des jeunes gens aux vieillards. Maintient les mœurs, ibid.

Subsides. Ne doivent point, dans une aristocratie, mettre de différence dans la condition des citoyens, 215, 216. Substitutions. Pernicieuses dans une aristocratie, 217. - Sont utiles dans une monarchie, pourvu qu'elles ne soient permises qu'aux nobles, ibid. Gênent le commerce, ibid. Quand on fut obligé de prendre, à Rome, des précautions pour préserver la vie du pupille des embùches du substitué, 344.- Pourquoi étaient permises dans l'ancien droit romain, et non pas les fidéicommis, 453. - Quel était le motif qui les avait introduites à Rome, 472. Substitutions pupillaires. Ce que c'est, 344.

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Substitutions vulgaires. Ce que c'est, 344, not. 3. cas avaient lieu, 472, 473. Subtilité. Est un défaut qu'il faut éviter dans la composition des lois, 476.

Succession au tróne. Par qui réglée dans les Etats despofios. 221.- Comment réglée en Moscovie, ibid. — Quelle est a meilleure façon de la régler, ibid. Les lois et les maga des différents pays la règlent différemment, et ers les a usages, qui paraissent injustes à ceux qui ne jugent que se les idées de leur pays, sont fondés en raison, 424. — Ne dat pas se régler par des lois civiles, 430.- Peut être chant, si elle devient destructive du corps politique pour legr elle a été établie, 432. - Cas où l'État en peut changer l'edre, ibid.

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Successions. Un père peut, dans une monarchie, donner's plus grande partie de la sienne à un seul de ses enfants, 21: Comment sont réglées en Turquie, 220. — A Bantan, ... A Pégu, ibid. not. 1 - Appartient au dernier des es chez les Tartares, dans quelques petits districts de l'Arge terre, et dans le duché de Rohan, en Bretagne : raisons de org loi, 331. Quand l'usage d'y rappeler la fille et les enfants de la fille s'introduisit parmi les Francs: motifs de ces rappels, 331, 332. - Ordre bizarre établi par la loi salique sur les successions: raisons et source de cette bizarrerie, 12. Leur ordre dépend des principes du droit politique ou civil, et non pas des principes du droit naturel, 424 et suiv. Est-ce avec raison que Justinien regarde comme barbare le droit qu'ont les males de succéder, au prejudice des filles? 424. L'ordre en doit être fixé dans une monarchie, 430. Origine et révolutions des lois romaines sur cette matière, 433 et suiv. — On en étendit le droit, a Rome, en faveur de ceux qui se prétaient aux vues des lois faites pour augmenter la population, 437. — Quand commencereat a ne plus être régies par la loi Voconienne, ibid. — Leur of dre, à Rome, fut tellement changé sous les empereurs, qu'on ne reconnait plus l'ancien, ibid. et suiv. — Origine de l'usage qui a permis de disposer, par contrat de mariag, de celles qui ne sont pas ouvertes, 528. Successions ab intestat. Pourquoi si bornées à Rome, et les successions testamentaires si étendues, 434. Successions testamentaires. Voyez Successions ab intestat. Suède. Pourquoi on y a fait des lois somptuaires, 240. SUÉTONE. Surprise que cause la fin de son récit des crimes de Néron, 592.

146.

Suez. Sommes immenses que le vaisseau royal de Suez porte Arabie, 371. Suffrages. A Rome, se recueillent ordinairement par tribus. Ceux d'un peuple souverain sont ses volontés, is Combien il est important que la manière de les donner dans une démocratie soit fixée par les lois, ibid. — De vent se donner différemment dans la démocratie et dans f ristocratie, ibid. De combien de manières its pervect être donnés dans une démocratie, 194. — Comment Solon, sans gèner les suffrages par le sort, les dirigea sur les seus personnages dignes des magistratures, ibid. — Doivent-13 être publics, ou secrets, soit dans une aristocratie, dans une démocratie? 195. Ne doivent point être dones par le sort dans une aristocratie, ibid. et suiv. Suicide. Raisons qui en faisaient chez les Romains une actien héroïque, 155. Lois d'Europe contre ce crime: apologie da suicide, 53. Réfutation de cette apologie, 53, 54. - Ex contraire à la loi naturelle et a la religion révélée. De cria des Romains, de celui des Anglais : peut-il être puni chat ces derniers? 305. — Les Grecs et les Romains le punissaient. mais dans des cas différents, 473. - Il n'y avait point de loi à Rome, du temps de la république, qui punit ce crime; il était même regardé comme une bonne action, ainsi que sor les premiers empereurs : les empereurs ne commencerent à le punir que quand ils furent devenus aussi avares qu'as avaient été cruels, ibid. — La loi qui punissait celui qui se tuait par faiblesse était vicieuse, 477.- Est-ce être sectateur de la loi naturelle que de dire que le suicide est en Angle terre l'effet d'une maladie? 534, 535.

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Sultans. Ne sont pas obligés de tenir leur parole, quand leur autorité est compromise, 203. - Droit qu'ils prennent ordinairement sur la valeur des successions des gens du peuple, 220.Ne savent être justes qu'en outrant la justice, 433. Superstition. C'est une hérésie, 55. Excès monstrueux où elle peut porter, 202. Sa force et ses effets, 338. — Est, chez les peuples barbares, une des sources de l'autorité des prètres, 336. — Toute religion qui fait consister le mérite de ses sectateurs dans les pratiques superstitieuses, autorise les désordres, la débauche et les haines, 410, 413. Son luxe doit être réprimé : il est impie, 418. Supplices. Conduite que les législateurs doivent tenir, à cet égard, suivant la nature des gouvernements, 231. Leur augmentation annonce une révolution prochaine dans l'Etat, ibid. A quelle occasion celui de la roue a été inventé : n'a pas eu son effet : pourquoi, 232. Ne doivent pas être les mêmes pour les voleurs que pour les assassins, 235. Ce que c'est, et à quels crimes doivent être appliqués, 282. = Ne rétablissent point les mœurs, n'arrêtent point un mal général, 341, 342.

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Sûreté du citoyen. Ce qui l'attaque le plus, 280. méritent ceux qui la troublent, 282.

Surprise. Plaisir qu'elle produit en nous, 592. gression, 595,

Suzerain. Voyez Seigneur.

Peine que

- De sa pro

Sybarites. Portrait de ce peuple efféminé, 116 et suiv. SYLLA. Exerce ses soldats à des travaux pénibles, 129. — Vainqueur de Mithridate, 143. — Porte une atteinte irréparable à la liberté romaine, 149. — Est le premier qui soit entré en armes dans Rome, 149, 150. Fut l'inventeur des proscriptions, 150. - Abdique volontairement la dictature, 149, 150. Parallèle de Sylla avec Auguste, 157. — Établit des peines cruelles: pourquoi, 235. Loin de punir, il récompensa les calomniateurs, 288. Dialogue de Sylla et

d'Eucrate, 583 et suiv.

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Loi sage de ce prince au sujet du crime de lèse-majesté,

288.

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TACITE. Erreur de cet auteur prouvée, 390. sur les mœurs des Germains est court, parce que, voyant tout, il abrège tout. On y trouve les codes des lois barbares, 479. Appelle comites ce que nous appelons aujourd'hui vassaux, 479, 489.

Talion (la loi du). Est fort en usage dans les États despotiques comment on en use dans les États modérés, 236. — Voyez Peine du talion.

Talisman. Les mahométans y attachent une grande vertu,

101.

TAO. Conséquences affreuses qu'il tire du dogme de l'immortalité de l'âme, 412.

Tarentins. Peuple oisif et voluptueux, 127. - Descendu des Lacédémoniens, 131.

TARQUIN. Comment monta sur le trône; changement qu'il apporta dans le gouvernement: causes de sa chute, 272, 273.

· L'esclave qui découvrit la conjuration faite en sa faveur fut dénonciateur seulement, et non témoin, 288. — Comment il règne, 125 et suiv. Son fils viole Lucrèce; suite de cet attentat, 126.- Prince plus estimable que l'on ne croit communément, ibid.

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Tartares. Sont les grands conquérants de la terre leurs conquêtes, 57. Il n'a manqué à cette nation que des historiens pour célébrer la mémoire de ses merveilles, ibid. — Leur conduite avec les Chinois est un modèle de conduite pour les conquérants d'un grand État, 263. Pourquoi obligés de mettre leur nom sur leurs flèches, 291. Ne lèvent presque point de taxes sur les marchandises qui passent, 298. Les pays qu'ils ont désolés ne sont pas encore rétablis, 327. Sont barbares et non sauvages, 328. Leur servitude, 330. Devraient être libres : sont cependant dans l'esclavage politique raison de cette singularité, ibid. · Quel est leur droit des gens: pourquoi ayant des mœurs si douces entre eux, ce droit est si cruel, La succession appartient, chez eux, au dernier des máles raison de cette loi, ibid. — Ravages qu'ils ont faits dans l'Asie, et comment ils y ont détruit le commerce, 359. Les vices de ceux de Gengis-kan venaient de ce que leur religion défendait ce qu'elle aurait dû permettre, et de ce que leurs lois civiles permettaient ce que la religion aurait dù défendre, 410. — Pourquoi n'ont point de temples: pourquoi si tolérants en fait de religion, 416. Pourquoi peuvent épouser leurs filles et non pas leurs mères, 427, 428. Arrêtent les progrès des Romains, 181. Tartarie (le kan de). Insulte tous les rois du monde deux fois par jour, 29.

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Taxes sur les marchandises. Sont les moins commodes et les moins onéreuses, 295. — Il est quelquefois dangereux de taxer le prix des marchandises, 380.- Sur les personnes. Dans quelle proportion doivent être imposées, 294. — Sur les terres. Bornes qu'elles doivent avoir, ibid. Témoins. Pourquoi il en faut deux pour faire condamner un accusé, 281. Pourquoi le nombre de ceux qui sont requis par les lois romaines pour assister à la confection d'un testament fut fixé à cinq, 433. Dans les lois barbares, autres que la salique, les témoins formaient une preuve négative complete, en jurant que l'accusé n'était pas coupable, 446. L'accusé pouvait, avant qu'ils eussent été entendus en justice, leur offrir le combat judiciaire : quand et comment ils pouvaient le refuser, 454,455. - Déposaient en public: abrogation de cet usage, 462. — La peine contre les faux témoins est capitale en France; elle ne l'est point en Angleterre motifs de ces deux lois, 473.

Temples. Leurs richesses attachent à la religion, 416. — Leur origine, ibid. Les peuples qui n'ont point de maisons ne batissent point de temples, ibid. - Les peuples qui n'ont point de temples ont peu d'attachement pour leur religion, ibid.

Tentations. Elles nous suivent jusque dans la vie la plus austere, 63, 64.

Terrain. Comment sa nature influe sur les lois, 326 et suiv. Plus il est fertile, plus il est propre à la monarchie, ibid.

Terre. Elle se lasse quelquefois de fournir à la subsistance des hommes, 77. - C'est par le soin des hommes qu'elle est devenue plus propre à être leur demeure, 328. - Ses parties sont plus ou moins peuplées, suivant ses différentes productions, 396.

-

Ce

Terre salique. Ce que c'était chez les Germains, 331. n'était point des tiefs, 333. Terres. Quand peuvent être également partagées entre les citoyens, 211 et suiv. — Comment doivent être partagées entre les citoyens d'une démocratie, 112 et suiv. - Peuventelles être partagées également dans toutes les démocraties? 214.-Est-il à propos, dans une république, d'en faire un nouveau partage, lorsque l'ancien est confondu, 238. — Bornes que l'on doit mettre aux taxes sur les terres, 294. Rapport de leur culture avec la liberté, 326 et suiv. - C'est une mauvaise loi que celle qui défend de les vendre, 387. Quelles sont les plus peuplées, 395, 396. Leur partage fut rétabli à Rome par Servius Tullius, 434. Comment furent partagées, dans les Gaules, entre les barbares et les Romains, 481 et suiv. Des vaincus. Contisquées par les Romains au profit du peuple, 126. - - Cessation de cet usage, 128. Partage égal des terres dans les anciennes républiques, 130. Comment, par succession de temps, elles retombaient dans les mains de peu de personnes, ibid. — Ce partage rétablit la république de Sparte, déchue de son ancienne puissance, 130, 131. Ce même moyen tire Rome de son abaissement, ibid. Terres censuelles. Ce que c'était autrefois, 488, 489. Tertullien. Voyez Sénatus-consulte Tertullien. Tésin (journée du). Malheureuse pour les Romains, 134. Testament. Les anciennes lois romaines sur cette matière n'avaient pour objet que de proscrire le célibat, 400.- On n'en pouvait faire, dans l'ancienne Rome, que dans une assemblée du peuple: pourquoi, 434. - Pourquoi les lois romaines accordaient-elles la faculté de se choisir, par testament, tel héritier que l'on jugeait à propos, malgré toutes les précautions que l'on avait prises pour empêcher les biens d'une famille de passer dans une autre? ibid. La faculté indétinie de tester fut funeste à Rome, ibid. — Pourquoi, quand on cessa de les faire dans les assemblées du peuple, il fallut y appeler cinq témoins, ibid. Toutes les lois sur cette matière, dérivent de la vente que le testateur faisait autrefois de sa famille à celui qu'il instituait son héritier, Pourquoi la faculté de tester était interdite aux sourds, aux muets et aux prodigues, ibid. Pourquoi le fils de famille n'en pouvait pas faire, même avec l'agrément de son père, en la puissance duquel il était, ibid. Pourquoi, soumis, chez les Romains, à de plus grandes formalités que chez les autres peuples, ibid. Pourquoi devait être conçu en paroles directes et impératives. Cette loi donnait la faculté de substituer, mais ôtait celle de faire des fideicommis, 435. - Pourquoi celui du père était nul, quand le fils était prétérit; et valable, quoique la fille le fut, ibid. - Les parents du défunt étaient obligés autrefois, en France, d'en faire un en sa place, quand il n'avait pas testé en faveur de l'Église, 407. Ceux des suicides étaient exécutés à Rome, 473. Testament in procinctu. Ce que c'était il ne faut pas le confondre avec le testament militaire, 434, not. 2. Testament militaire. Quand, par qui et pourquoi il fut établi, 434, not. 2.

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435.

Testament per æs et libram. Ce que c'était, 434, not. 4.
Thebaide. Voyez Solitaires.

Thébains. Ressource monstrueuse à laquelle ils eurent recours pour adoucir les mœurs des jeunes gens, 210.

THÉODORA (l'impératrice). Rétablit le culte des images, détruit par les iconoclastes, 183.

THÉODORE LASCARIS. Injustice commise sous son règne, sous prétexte de magie, 283.

THÉODORIC, roi d'Austrasie. Fit rédiger les lois des Ripuaires, des Bavarois, des Allemands et des Thuringiens, 438. THÉODORIC, roi d'Italie. Comment il adopte le roi des Hérules, 337.- Abolit le combat judiciaire chez les Ostrogoths,

449.

THÉODOSE, empereur. Son crime et sa pénitence, 41, 42. — Ce qu'il pensait des paroles criminelles, 286. Appela les petits-enfants à la succession de leur aïeul maternel,

438.

THÉODOSE LE JEUNE (l'empereur). Avec quelle insolence Attila en parle, 174.

Théologie. Est-ce cette science ou la jurisprudence qu'il faut traiter dans un livre de jurisprudence? 541, 543. —Elle s'ac corde difficilement avec la philosophie, 44. Théologie (livres de). Doublement inintelligibles, 91. Theologiens. Incapables d'accorder jamais leurs différends, 184.- · Maux qu'ils ont faits au commerce, 373. THEOPHILE, empereur. Pourquoi ne voulait pas et ne devait pas vouloir que sa femme fit le commerce, 355. THEOPHRASTE. Son sentiment sur la musique, 209. THÉSÉE. Ses belles actions prouvent que la Grèce était encore barbare de son temps, 412.

Thessaliens, asservis par les Macédoniens, 136.

THIBAUT. C'est ce roi qui a accordé les coutumes de Champa. gne, 469.

THOMAS MORE. Petitesse de ses vues en matière de législation,

472.

Thuringiens. Simplicité de leurs lois; par qui furent rédigees, 438, 439. — Leurs lois criminelles étaient faites sur le meme plan que les ripuaires, 446. — Leur façon de proceder contre les femmes, 448.

TIBÈRE. Étend la puissance souveraine, 158 et suiv. — Soupçonneux et défiant, ibid. —Sous son empire, le senat tombe dans un état de bassesse qu'on ne saurait exprimer, 159. — Il ôte au peuple le droit d'élire les magistrats, pour le transporter à lui-même, ibid. — S'il faut imputer à Tibere l'avilissement du sénat, 159, 160. —Se donna bien de garde de renouveler les anciennes lois somptuaires de la républi que, à laquelle il substituait une monarchie, 239. - Par le même esprit, il ne voulut pas qu'on défendit aux gouverneurs de mener leurs femmes dans les provinces, ibid. - Par les vues de la même politique, il maniait avec adresse les lois faites contre l'adultère, 243. - Abus énormes qu'il commit dans la distribution des honneurs et des dignites, 247, not. I. — Attacha aux écrits la peine du crime de lèsemajesté, et cette loi donna le dernier coup à la liberté, 286. Raffinement de cruauté de ce tyran, 287. — Par une li sage, il fit que les choses qui représentaient la monnaie devinrent la monnaie même, 379. — Ajouta à la rigueur de la loi Papienne, 401.

TIMUR. S'il eût été chrétien, il n'eût pas été si cruel, 407. Tisane purgative, 102.

TITE (l'empereur) fait les délices du peuple romain, 163. TITE-LIVE. Critique de l'auteur sur la façon dont cet historien fait parler Annibal, 135. — Erreur de cet historien, 234. Toison d'or. Origine de cette fable, 361. Tolérance. L'auteur n'en parle que comme politique, et non comme théologien, 407.- Les théologiens mêmes distiaguent entre tolérer une religion et l'approuver, 417. -- Quand elle est accompagnée de vertus morales, elle forme le carac tère le plus sociable, 408, 409. — Quand plusieurs religions sont tolérées dans un État, on doit les obliger à se tolerer entre elles, 419.-Ou doit tolérer les religions qui sont établies dans un État, et empêcher les autres de s'y établir. Dans cette règle n'est point comprise la religion chrétienne, qui est le premier bien, ibid. note 1. Ce que l'auteur a dit sur cette matière est-il un avis au roi de la Cochinchine pour fermer la porte de ses États à la religion chrétienne? 540. Voyez aussi 41.- Politique. Ses avantages, 59. Tonquin. Toutes les magistratures y sont occupées par des ennuques, 315. C'est le physique du climat qui fait que les pères y vendent leurs filles et y exposent leurs enfants,

396.

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TOURNEMINE (le P.). Ses tracasseries ont engagé l'auteur à se retirer d'une société littéraire, 658.

Tournois. Donnèrent une grande importance à la galanterie, 452.

Traducteurs. Parlent pour les anciens, qui ont pensé pour

eux, 87.

Traitants. Leur portrait, 278. Leur injustice détermina Publius Rutilius a quitter Rome, 278, 279. - On ne doit jamais leur contier les jugements, ibid. - Les impôts qui donnent occasion au peuple de frauder enrichissent les traitants, ruinent le peuple et perdent l'Etat, 295. - Tout est perdu lorsque leur profession, qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, 299. Les richesses doivent être leur unique récompense, ibid.

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Traité déshonorant auquel se soumit Antiochus, 138. Traités. De paix. Il semble qu'ils soient la voix de la nature, 65. Quels sont ceux qui sont légitimes, ibid. Ceux que les princes font par force sont aussi obligatoires que ceux qu'ils font de bon gré, 431. Traitres. Cominent étaient punis chez les Germains, 492. TRAJAN. Refusa de donner des rescrits: pourquoi, 478. — Le prince le plus accompli dont l'histoire ait jamais parlé, 163. Son portrait: il fait la guerre aux Parthes, ibid. Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, 282.

Transmigration. Causes et effets de celle des différents peuples, 327.

Transpiration. Son abondance, dans les pays chauds, y rend l'eau d'un usage admirable, 303.

Trasimene (bataille de) perdue par les Romains, 134. Travail. On peut, par de bonnes lois, faire faire les travaux les plus rudes à des hommes libres, et les rendre heureux, 310.- Les pays qui, par leurs productions, fournissent du travail à un plus grand nombre d'hommes sont plus peuplés que les autres, 395 et suiv. Est le moyen qu'un Etat bien policé emploie pour le soulagement des pauvres,

303.

Trebie (bataille de) perdue par les Romains, 134. Tresors. Amassés par les princes, funestes à leurs successeurs pourquoi, 165. — Trésor des Ptolémées apporté à Rome: effet qu'il y produit, 169. — Il n'y a jamais, dans une monarchie, que le prince qui puisse en avoir un, 452, 453. En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses, qu'il veut que nous méprisions, 418.

Pourquoi, sous les rois de la première race, celui du roi était regardé comme nécessaire à la monarchie, 480. Triangles. Quelle forme ils donneraient à leur dieu, s'ils en faisaient un, 40.

Tribunal domestique. De qui il était composé à Rome. Quelles matières, quelles personnes étaient de sa compétence, et quelles peines il infligeait, 242. — Quand et pourquoi fut aboli, ibid.

Tribunaux. Cas où l'on doit être obligé d'y recourir dans les monarchies, 226. - Ceux de judicature doivent être composés de beaucoup de personnes pourquoi, 230. - Sur quoi est fondée la contradiction qui se trouve entre le conseil du prince et les tribunaux ordinaires, 230.- - Quoiqu'ils ne soient pas fixes dans un Etat libre, les jugements doivent l'être, 266. Ne doivent pas se régler par les maximes des tribunaux qui regardent l'autre vie, 426. - Il y en a trois qui ne sont presque jamais d'accord, ceux des lois, de l'honneur et de la religion, 629.

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296.

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tablis à Rome, ibid. Ne deviennent jamais plus nécessaires que quand un État s'affaiblit, 173. Portés par les empereurs à un excès intolérable, ibid. — Par qui doivent être levés dans une aristocratie, 216.- Doivent être levés, dans une monarchie, de façon que le peuple ne soit point foulé de l'exécution, 217.- Comment se levaient à Rome, 279, 280.- Rapport de leur levée avec la liberté, 293 et suiv. - Sur quoi et pour quels usages doivent être levés, 293. Leur grandeur n'est pas bonne par elle-meme, ibid. Pourquoi un petit État qui ne paye point de tributs, enclavé dans un grand qui en paye beaucoup, est plus misérable que le grand. Fausse conséquence que l'on a tirée de ce fait, ibid. Quels tributs doivent être levés dans un pays ou tous les particuliers sont citoyens, ibid. Leur grandeur dépend de la nature du gouvernement, ibid. et suiv. -Leur rapport avec la liberté, Dans quel cas sont susceptibles d'augmentation, 297. Leur nature est relative au gouvernement, ibid. Quand on abuse de la liberté pour les rendre excessifs, elle dégénère en servitude, et on est obligé de diminuer les tributs, ibid. et suiv. Leur rigueur en Europe n'a d'autre cause que la petitesse des vues des ministres, 297, 298. — Causes de leur augmentation perpétuelle en Europe, 298.— Les tributs excessifs que levaient les empereurs donnerent lieu à cette étrange facilité que trouvèrent les mahométans dans leurs conquètes, ibid. — Quand on est forcé de les remettre a une partie du peuple, la remise doit être absolue, et ne pas être rejetée sur le reste du peuple. L'usage contraire ruine le roi et l'État, ibid. et suiv.- La redevance solidaire des tributs entre les différents sujets du prince est injuste et pernicieuse a l'Etat, ibid. — Cex qui ne sont qu'accidentels, et qui ne dépendent pas de l'industrie, sont une mauvaise sorte de richesse, 377. — Les Francs n'en payaient aucun dans les commencements de la monarchie: traits d'histoire et passages qui le prouvent, 484 et suiv. Les hommes libres dans les commencements de la monarchie française, tant Romains que Gaulois, pour tout tribut étaient chargés d'aller à la guerre à leurs dépens. Proportions dans lesquelles ils supportaient ces charges, 486 et suiv. Voyez Impots, Taxes.

Tributums. Ce que signifie ce mot dans les lois barbares, 487.

Trinité (par allusion à la), les Grecs se mirent en tête qu'ils devaient avoir trois empereurs, 181.

Triomphe. Son origine : combien il influe sur l'accroissement des grandeurs romaines, 125.- A quel titre il s'accordait, 126. —L'usage du triomphe aboli sous Auguste: par quelle raison, 157.

Tristesse. Les Orientaux ont contre cette maladie une recette preferable à la nôtre, 23.

Triumvirat (premier), 149. — (Second), 151.

Triumvirs. Leur adresse à couvrir leur cruauté sous les sophismes, 288, 289. — - Réussirent, parce que, quoiqu'ils eussent l'autorite royale, ils n'en avaient pas le faste,

337.

Troglodytes. Leur histoire prouve qu'on ne peut être heureux que par la pratique de la vertu, 8 et suiv. Troupes. Différence qui existe entre les troupes françaises et celles d'Orient, 61, 62. -Leur augmentation, en Europe, est une maladie qui ruine les États, 298. — Est-il avantageux d'en avoir sur pied, en temps de paix comme en temps de guerre? ibid. - Pourquoi les Grecs et les Romains n'estimaient pas beaucoup celles de mer, 360, 370. Troyennes (les). Tragédie assez mal faite, 670. Troyes. Le synode qui s'y tint en 878 prouve que la loi des Romains et celle des Wisigoths existaient concurremment dans le pays des Wisigoths, 442. Truste. Voyez In truste.

Tu et vous. De l'emploi de ces pronoms dans la Bible, 654,

655.

TULLIUS HOSTILIUS. Fait écarteler Métius Suffetius, 234. TULLIUS (SERVIUS), comparé à Henri VII, roi d'Angleterre, 126. - Cimente l'union des villes latines avec Rome, 127.— Divise le peuple romain par centuries, 145, 194.

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