| Nicolas Boileau-Despréaux - 1800 - 354 ページ
...les vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine fli le ciel à ces maux avoit borné ma peine. . Mais si seul en mon lit je peste avec raison , C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : Eu quelque endroit que j'aille, il fant fendre la preste .l)'uo peuple d'importuns qui fourmillent... | |
| tome premier - 1800 - 354 ページ
...les vivants. Encor je bénirois la bonté souveraine fli le ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : Eu quelque endroit que j'aille, il fant fendre la presse J> un peuple d'importuns qui fouruùllent... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1800 - 358 ページ
...ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison , (i) Eunuyeux célebrl. C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : En quelque endroit que j'aille , il fant fenilir la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse: L'un me heurte d'un ais... | |
| Juvenal - 1811 - 530 ページ
...jour à votre ignominie. Sat. 6. Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ? En qaelqu'endroit que j'aille il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé. Je vois d'un autre conp mon chapeau renverséLà sur une charrette, nne poutre branlante Vient menaçant... | |
| Charles Constant Le Tellier - 1815 - 302 ページ
...vivant», I''.ncor je bénirois la bonté souveraine, Si IR ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison , C'est encor pis vingt fois en quittant la maison : Kn quelque endroit que j'aille, il faut fondre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent... | |
| L. Philipon-La-Madelaine - 1817 - 470 ページ
...ailles , qu'il ou qu'elle aille. Pluriel , qu'ils ou qu'elles aillent. En quelque endroit que faille , il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. B oi LEA v. AILE , sf ELLE , pro. Quoique la première syllabe soit longue dans aile, et brève dans... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 602 ページ
...vivants ' . Encor je bénirois la bonté souveraine , Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison ", C'est...L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé. Là d'un enterrement la funèbre ordonnance 4 Mourir... | |
| Nicolas Boileau Despréaux - 1821 - 478 ページ
...avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison J, C'est encor pis vingt fois eu quittant la maison : En quelque endroit que j'aille , il faut fendre la presse ' D un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. L'on me heurte d'un ais dont je suis tout froissé;... | |
| Nicolas Boileau-Despréaux - 1823 - 394 ページ
...les vivants. Kncor je bénirais la bonté souveraine Si le ciel à ces maux avoit borné ma peine. Mais si seul en mon lit je peste avec raison , C'est...quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse iJ'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse : L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 ページ
...class of ignoramuses, or stupid beings.u hose greatest delight is to torment people of understanding. En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la...D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse. BOILKAU. Une douzaine «fenfans furent tués le même jour. Une centaine de femmes furent ensevelies... | |
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