ページの画像
PDF
ePub

Et députe auprès de M. le procureur du parlement pour solliciter ses conclusions; le trouve fort prévenu. *122 Requête de l'Académie au parlement et arrêt d'appointé.

Billet de M. Colbert à M. le procureur général recommander l'affaire de l'Académie de la

roi.

*124

pour lui

part du

*125

*126

Remontrance du procureur du roi au Châtelet contre

cette restauration,

*127

Mais dont il se désiste.

*130

Conclusions de ce magistrat.

Travail des députés pour faire revenir la plupart des ju

ges, surtout le rapporteur.

Députation plus solennelle pour les solliciter.

*132

*133

Arrêté du parlement pour l'enregistrement, avec trois clauses.

*137

Enregistrement pur et simple à la chambre des comptes et à la cour des aides.

*139

*140

Détail des clauses apposées par le parlement. RIANTZ (De), procureur du roi au Châtelet. Remontrance très forte de sa part au parlement contre le nouvel arrangement de l'Académie,

*127 Et dont cependant il se déporte de fort bonne grâce. *130 Rois qui ont favorisé les arts de peinture et de sculpture par des grâces et des exemptions en bonne forme. RUPTURE Ouverte entre M. Le Brun et MM. Ratabon et Errard.

10

*37

S

SACRE de nos rois. Peut donner lieu à des lettres de maîtrise dans l'Académie; brevet du 28 décembre 1654.

187

SAILLIE inconsidérée de M. Ratabon. Cause d'un graud mouvement en l'Académie.

*20

SAISIES par les jurés. Celles faites sur les sieurs L'Évéque, Bellot, peintres du roi, donnent lieu à l'établissement de l'Académie,

18

Et celles faites sur plusieurs membres de la nouvelle Académie opèrent l'arrêt du conseil du 19 mars 1648. 43 SARRAZIN (Jacques). L'un des premiers promoteurs de l'établissement de l'Académie avec M. Juste d'Egmont et M. Corneille,

24

36

Et l'un des douze anciens de la première élection. Ensuite, à la restauration de 1655, l'un des quatre recteurs de l'Académie. 188 Offre de lui céder son logement des galeries du Louvre moyennant 2,000 liv. pour déboursés de dépenses qu'il prétendoit y avoir faites; l'offre est acceptée; *3 Mais le petit tour d'intérêt particulier dont on accuse M. Sarrazin puni par une clause insérée dans le brevet du roi. *6 Est nommé l'un des députés pour solliciter au parlement l'enregistrement des titres de la grande restaura

tion.

*133

SCEAUX de l'Académie, gravés par les soins et sur les dessins de M. Le Brun.

38

En étant chargé depuis comme chancelier de l'Académie,

il les remet par mécontentement.

*36

Ils lui sont reportés par une députation.

*69

SECRÉTAIRE de l'Académie. Causes de la création de cet

emploi.

63

Est déféré à M. Testelin l'aîné (Louis).

69

Passe au puîné (Henri) lorsque l'aîné est élu ancien. 89 Le premier continue encore pendant du temps à en faire les fonctions, et le second n'en commence l'exercice qu'en la première assemblée générale de la jonction. 105 (Voyez, au surplus, les articles personnels de ces deux officiers.)

171

SECRET promis et gardé par l'Académie en corps. SEGUIER (Pierre), chancelier de France, protége singulièrement M. Le Brun.

25

Appuie de tout son pouvoir au conseil de régence l'affaire de l'établissement de l'Académie. 29 Examine la minute des premiers statuts, les apostille de ses observations, les homologue ensuite par lettres patentes, qu'il scelle et fait publier, le sceau tenant. 35 Donne un arrêt qui évoque au roi et à son conseil tous les procès concernant les fonctions, ouvrages ou exercices des membres de l'Académie, casse une ordonnance du lieutenant civil rendue pour raison des saisies faites sur aucun d'eux par les jurés; écrit à ce juge pour lui recommander les priviléges et intérêts de l'Académie. S'emploie dans le même esprit auprès des autres magistrats, et donne à la compagnie les plus fortes marques de sa protection. L'exhorte et la met en état de poursuivre au parlement l'enregistrement de ses lettres.

44

45

46

Se montre également occupé d'elle à la restauration de 1655,

168

169

Dont il examine et discute et le plan et les titres. La qualité de chancelier de l'Académie prend son origine dans un trait de politesse de sa part.

170

Se démet de celle de protecteur de l'Académie, pour la faire déférer au cardinal Mazarin, et prend celle de vice-protecteur. 171 Reçoit une députation solennelle de l'Académie pour le remercier et lui faire hommage d'un tableau. 177 Fait don à l'Académie d'une somme de 2,000 liv. pour l'aider à occuper le logement délaissé par M. Sarrazin. *5 Reçoit un nouvel hommage de plusieurs tableaux que l'Académie fait faire pour l'embellissement de son hô

tel.

*28

Réagrée la qualité de protecteur à la mort du cardinal

Mazarin.

*42

Il s'emploie à faire passer le vice-protectorat à M. Col

bert.

*50 Est confirmé dans le protectorat par les lettres patentes de 1663,

*111 Et sert puissamment l'Académie à cette dernière restauration. *120 SEVE (Gilbert), comme on le nommoit assez communément, mais dont le vrai nom est de Sève, l'un des seize commissaires de l'Académie pour ratifier le contrat de la jonction,

100

Et l'un des douze professeurs premiers élus à la restauration de 1655, 188 Et enfin l'un des treize députés nommés pour solliciter au parlement les titres de la grande restauration. *133 SQUELETTE humain acquis à l'Académie pour former les jeunes étudiants dans la connaissance de l'ostéologie. STATUTS de l'Académie : 1o Statuts de 1648, minutés par M. de Charmois sur les lumières données par M. Le Brun et les autres premiers académiciens, revus et corrigés par M. le chancelier,

Et confirmés par lettres patentes.

*56

34

35

Ne sont vérifiés au parlement qu'avec les articles de la jonction.

128

2o Statuts de 1654. La première idée en est donnée par M. Le Brun,

Et jetée sur le papier par M. Testelin.

163

165

Sont discutés à fond par sept ou huit des meilleures têtes de l'Académie, et rédigés finalement par M. Ratabon. 166

Sont par lui expliqués à l'Académie assemblée en corps chez M. le Chancelier,

169

Qui lui-même les examine et les revoit avec soin.

169

179

Sont registrés au parlement avec lettres-patentes de janvier 1655. Choquent fort la maîtrise et la portent à la séparation.

186

3o Statuts de 1663. Minutés d'abord pour arrêter les entreprises de M. Ratabon,

Et remis à un autre temps.

Repris par M. Colbert lui-même,

*47

*54

*74

*76

Et par lui renvoyés à M. Du Metz pour être discutés en détail. Expliqués ensuite à M. Colbert lui-même par un plan raisonné dressé par MM. Le Brun et Testelin,

Lequel opère la décision.

*77

*80

L'état du roi pour la répartition de la pension de 4,000 livres tient lieu de statuts, comme par intérim, pendant l'année 1663.

*88

M. Le Brun, faisant les fonctions de directeur, se livre tout entier à l'affaire des statuts, *94 Et se réconcilie M. Errard pour s'en aider dans ce tra

vail.

*96

Le plan des statuts redressé et fixé sur l'avis d'un habile praticien.

*99 On achève de leur donner la dernière forme avec M. Du Metz.

*110

Après quoi ils sont approuvés par le roi et confirmés par lettres-patentes.

**111 à

*112

Opposition à leur enregistrement de la part des jurés, l'instigation de M. Mignard, même avant d'être envoyés aux cours souveraines. Détail des difficultés que cause cette opposition; des préjugés à vaincre, etc. Enregistrement qui termine tout avec trois clau

ses.

*122 et 131

*139 et suiv.

STATUTS pour les peintres et sculpteurs de la maîtrise.

Causes et époque des premiers statuts de la commu

« 前へ次へ »