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nauté des maîtres peintres et sculpteurs de Paris. Adresse des jurés pour obtenir l'homologation de leurs statuts, en 1651; viennent à bout de les faire registrer au parlement conjointement avec les titres de l'Acadé

mie.

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SYNDICS de l'Académie. Les sieurs l'Évêque et Bellot élus en cette qualité.

36 La façon dont ils se conduisent dans cet emploi porte l'Académie à les supprimer et même à renvoyer le plus incorrigible de ces deux sujets.

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TAMBONNEAU (François-Hierôme), conseiller de la grand' chambre. Travail avec lui, comme rapporteur des statuts et lettres patentes de 1663, pour vaincre ses préventions sur les raisons des jurés. TENTATIVE faite par M. Bonneau, procureur du roi au Châtelet, pour ranger l'Académie sous sa juridic→ tion, Éludée habilement par les députés de la compagnie.' 32 TESTELIN l'aîné, ou Louis Testelin, consulté des premiers avec son frère, par M. Le Brun, sur le projet de l'établissement de l'Académie.

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Son éloge; est élu secrétaire de l'Académie à la création de cet emploi,

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Puis l'un des douze anciens du même corps à la place de M. Perrier. Il s'applique, en cette qualité, avec beaucoup de succès, à relever l'école académique prête à tomber.

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Est un des députés de l'Académie pour traiter de la jonction.

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Démêle dans la conclusion de cette affaire une infidélité insigne de la part des députés de la maîtrise. TESTELIN (Henri), autrement le puîné. Aide M. Le Brun

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de ses lumières dans le projet de l'établissement de l'Académie.

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Est choisi pour faire le portrait du roi dont elle veut orner la salle d'assemblée. Succède à son frère aîné dans la place de secrétaire de l'Académie; est chargé par elle de poursuivre la vérification des lettres de son établissement, à quoi il satisfait avec beaucoup de diligence. 89 Est un des seize commissaires de l'Académie nommés pour ratifier le contrat de la jonction. 100 Fait un coup de parti par la façon dont il débute avec ceux de ladite jonction. 104 Propose de recevoir académiciens honoraires avec séance et voix délibérative les sieurs Bosse et Quadroulx. Motifs et sort de cette proposition. Suggère la tenue des conférences publiques sur les diverses parties de l'art, et dans quelle vue. 157 Est mis des premiers dans le secret de la première restauration de l'Académie, et contribue beaucoup à la faire réussir.

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Y est continué dans son emploi de secrétaire à la première élection. 188

Son attachement invariable et ouvert pour M. Le Brun lui attire une espèce de persécution de la part de M. Errard. *40

Il agit auprès du premier pour travailler avec lui au désasservissement de l'Académie.

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Se prévaut habilement de l'oubli que fait M. Ratabon de remplir la place de vice-protecteur,

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Et est seul dans le secret des dispositions faites pour la faire tomber à M. Colbert. Conduit avec beaucoup de dextérité les choses au point de faire revenir M. Le Brun à l'Académie et avec honneur. *63

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Dresse avec lui un plau raisonné de la grande restauration, à l'usage de M. Colbert. S'entremet pour raccommoder M. Le Brun avec M. Er

rard.

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Travaille ensuite avec eux et avec M. Du Metz à mettre la dernière main à la grande restauration. Inspire l'obtention de l'arrêt du conseil du 24 novembre 1662.

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*85

Consulte M. Fournier sur la forme judiciaire à donner au nouvel arrangement. *98 Dresse la requête sur laquelle intervient l'arrêt du conseil qui enjoint aux brevetaires du roi de s'unir à l'Académie, avec révocation de leurs brevets. *105 Est ajouté aux douze députés nommés pour suivre au parlement l'enregistrement des statuts et lettres-patentes de 1663, affaire où il avoit en tout eu la principale part. *133 TORTEBAT (François). L'un des seize membres de l'Académie députés pour ratifier le contrat de la jonction. 100 TRANSACTION faite en conséquence des articles de la jonction. Voyez Articles de la jonction.

TRÉSORIERS de la bourse commune de la jonction. Le secrétaire a l'adresse de faire élire pour remplir ces deux places deux membres de l'Académie, MM. Errard et Guillain.

106 Ils dénoncent à l'Académie un divertissement de deniers de ladite bourse fait par les jurés. Ceux-ci, pour faire quitter ces premiers, se répandent contre eux en imputations odieuses,

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Et les poussent à vouloir se démettre; on les engage à demeurer par un vœu général.

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TRÉSORIERS de l'Académie. M. Henri Beaubrun élu en cette qualité à la restauration de 1655. Jouissent de l'exemption de toutes tutelles et cura

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telles et de tout guet et garde et du droit de committimus. *79 et 111 TRIAGE fait à la naissance de l'Académie, dans la foule des aspirants, par un examen sérieux de leurs ouvrages. TUTELLES et curatelles (Exemption de toutes) accordée aux gens d'art par plusieurs de nos rois. Cette exemption appliquée directement aux dix-neuf officiers de l'Académie dénommés et aux onze académiciens qui occuperont les premières de ces places. (Lettres-patentes de janvier 1655.) Le parlement, en vérifiant ces lettres, restreint cette exemption pour n'avoir lieu qu'en la ville et faubourgs de Paris pour les tutelles qui pourroient être déférées aux susdits, sinon en cas de droit. *180 et 185

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VAN MOL. L'un des premiers qui se soient rangés sous l'association académique. 25

VAN OPSTAL (Gérard). L'un des douze anciens de l'Académie de la première élection,

36 Et l'un de ses seize députés pour ratifier le contrat de la jonction.

100 Sa qualité d'ancien convertie en celle de professeur à la restauration de 1655.

*133

188 Est nommé un des députés pour suivre au parlement l'enregistrement des statuts et lettres-patentes de 1663, titres de la grande restauration. VICE-PROTECTEUR de l'Académie. M. le Chancelier retient cette qualité après s'être démis de celle de protecteur pour mettre l'Académie en état de la déférer au cardinal Mazarin.

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Cette option confirmée en une assemblée générale.

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La qualité de protecteur reportée à M. le Chance

lier.

M. Colbert, disposé par M. Le Brun à l'accepter,
L'accepte en effet,

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Et y est confirmé par les lettres-patentes de décembre 1663. VIGNON (Claude). L'un des six députés de la maîtrise à l'affaire de la jonction. S'acquitte de cette négociation avec candeur et honnêteté, et est admis, aussitôt la jonction, au nombre des douze anciens de l'Académie. 103 Prête une somme d'argent assez considérable pour soutenir l'école académique.

141 Sa qualité d'ancien convertie en celle de professeur à la 188 restauration de 1655. VION (Nicolas). Maître sculpteur de Paris, et juré garde de sa communauté en 1651, est à la tête des six députés de la maîtrise pour conclure l'affaire de la jonction. VITRIERS. Unis en même communauté dans plusieurs villes du royaume avec les maîtres peintres; raison de cette jonction. VRILLIÈRE (Louis-Phelypeaux, seigneur de la). Voyez De la Vrillière.

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