Qu'est-ce que la science sociale?, 第 1 巻L'auteur, 1853 |
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absolument anarchie anéantie base d'ordre besoin c'est-à-dire chose ciale ciété Colins commune constitution continue l'auteur critérium croyance démontrée despotisme dhon Dieu dire dit-il doit économiques également Émile de Girardin époque d'ignorance Est-ce existe force brutale gouvernement direct Guizot hommes idées impossible individus inévitable inquisition justice éternelle l'anarchie l'anéantissement l'anthropomorphisme l'archevêque l'autorité l'égalité l'exa l'existence de l'ordre l'expression l'homme l'humanité l'ignorance sociale l'incompres l'incompressibilité de l'examen l'ordre social Lamennais liberté logomachie lois Louis Blanc M. P. Leroux maintenant ment Michel Chevalier monsieur moral nécessairement nécessité négation panthéisme paupérisme philosophie Pierre Leroux politique possible présence de l'ignorance présence de l'incompressibilité principe prolétaires propriété collective Proudhon puisse qu'en présence qu'un raison rationnellement incontestable réalité réelle religion reste révolution rien Robespierre s'il sanction religieuse science sera seule sociale de l'examen socialement commune socialisme rationnel société actuelle souveraineté du peuple système théisme théorie tion tisme travail trouve universelle utopie vérité Voilà voulez-vous vrai
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67 ページ - ... du globe à l'autre avec la rapidité de l'éclair, mais encore les idées. Quand les barrières fiscales et commerciales auront été abolies entre les divers États, comme elles le sont déjà entre les provinces d'un même...
193 ページ - La vie présente , ainsi privée de ciel , est un labyrinthe où tout homme doué de sympathie et d'intelligence est destiné à être dévoré par la douleur et le doute. A quoi me sert que la vie antérieure de l'humanité ait développé mes sympathies et étendu mon intelligence, quand toutes mes sympathies sont blessées et mon intelligence confondue? Inégalité sur...
206 ページ - Mon maître ne me commandait pas sans droit au nom de son égoïsme ; son pouvoir sur moi remontait à Dieu qui permettait l'inégalité sur la terre. Nous avions la même morale, la même religion. Au nom de cette morale et de cette religion , servir était mon lot, commander était le sien. Mais servir, c'était obéir à Dieu et payer de dévouement mon protecteur sur la terre.
72 ページ - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné, et qui achèvera de se briser au premier choc.
16 ページ - ... chose, mais qu'il faut néanmoins très soigneusement distinguer, savoir est, entendre, croire et opiner. Celui-là entend qui comprend quelque chose par des raisons certaines. Celui-là croit, lequel, emporté par le poids et le crédit de quelque grave et puissante autorité, tient pour vrai cela même qu'il ne comprend pas par des raisons certaines. Celui-là opine qui se persuade, ou plutôt qui présume de savoir ce qu'il ne sait pas.
327 ページ - La mécanique a délivré le capital de l'oppression du travail. Partout où nous employons encore un homme, ce n'est que provisoirement, en attendant qu'on invente pour nous le moyen de remplir sa besogne sans lui.
330 ページ - Il est convenu de regarder celui-ci comme une machine qu'on loue, dont on se sert et que l'on paie tout juste pendant le temps qu'on en a besoin ; de même, aux yeux d'un grand nombre de prolétaires, le bourgeois est un ennemi dont on n'accepte la supériorité que parce qu'il est le plus fort...
207 ページ - J'ai perdu tout cela. Je n'ai plus de paradis à espérer; il n'ya plus d'Église; vous m'avez appris que le Christ était un imposteur; je ne sais s'il existe un Dieu, mais je sais que ceux qui font la loi n'y croient guère, et font la loi comme s'ils n'y croyaient pas. Donc, je veux ma part de la terre. Vous avez tout réduit à de l'or et à du fumier, je veux ma part de cet or et de ce fumier. — Travaille, lui dit encore le spectre qui représente aujourd'hui la société, travaille, et tu...
346 ページ - Mon nom est un symbole d'ordre, de nationalité et de gloire, et ce serait avec la plus vive douleur que je le verrais servir à augmenter les troubles et les déchirements de la patrie. Pour éviter un tel malheur, je resterais plutôt en exil : je suis prêt à tous les sacrifices pour le bonheur de la France.
108 ページ - L'homme qui s'est marié sans avoir l'espérance de « nourrir sa famille, doit être laissé à lui-même, son action « est immorale ; la misère en est la peine naturelle et juste ; « livrons donc cet homme coupable à la peine prononcée