Revue canadienne, 第 1 巻Alphonse Leclaire Revue canadienne, 1864 |
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231 ページ - Toutefois, je l'avoue, en ce comble de gloire, Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur, Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur. Heureux si, sur son temple achevant ma vengeance, Je puis convaincre enfin sa haine d'impuissance, Et parmi le débris, le ravage et les morts, A force d'attentats perdre tous mes remords ! Mais voici Josabet.
699 ページ - L'enferme en un cachot le reste de sa vie , Ou que d'un bonnet vert le salutaire affront » Flétrisse les lauriers qui lui couvrent le front. Mais...
367 ページ - Il n'entend plus la voix de sa joyeuse cloche Annonçant, tour à tour, Que déjà du repos l'heure calme s'approche Ou qu'enfin il est jour ! Il n'entend plus jamais les chants des brunes vierges Elevant, vers le ciel, Une âme toute en feu comme les pâles cierges Qui brûlaient sur l'autel ! Le dimanche, autrefois, c'était fête au village : Aujourd'hui tout est deuil ! De son humble maison le timide sauvage Ne laisse plus le seuil ! Son cœur se refroidit et sa vertu chancelle Sous le...
603 ページ - France, et qu'il devient de plus en plus difficile d'en obtenir des exemplaires ou des commentaires ; et considérant que pour les raisons susdites et les grands avantages qui sont résultés pour la France, comme pour l'Etat de la Louisiane et d'autres endroits, de la codification des lois, il est évidemment expédient de pourvoir à la codification des lois civiles du Bas-Canada...
166 ページ - Seront les juges établis en tous lesdits lieux tenus de juger suivant les lois et ordonnances du royaume, et les officiers de suivre et se conformer à la Coutume de la Prévôté et Vicomté de Paris, suivant laquelle les habitants pourront contracter sans que l'on y puisse introduire aucune autre coutume, pour éviter la diversité.
18 ページ - Les sociétés de crédit foncier ne peuvent prêter que sur première hypothèque. — Sont considérés comme faits sur première hypothèque les prêts au moyen desquels tous les créanciers antérieurs doivent être remboursés en capital et intérêts. — Dans ce cas, la société conserve entre ses mains une valeur suffisante pour opérer ce remboursement.
367 ページ - ... brûlaient sur l'autel ! Le dimanche, autrefois, c'était fête au village : Aujourd'hui tout est deuil ! De son humble maison le timide sauvage Ne laisse plus le seuil ! Son cœur se refroidit et sa vertu chancelle Sous le poids du malheur Comme on voit chanceler une frêle nacelle Sur la mer en fureur...
609 ページ - Le fils qui n'a pas atteint l'âge de vingt-cinq ans accomplis, la fille qui n'a pas atteint l'ûge de vingt-un ans accomplis, ne peuvent contracter mariage sans le consentement de leurs père et mère: en cas de dissentiment, le consentement du père suffit.
733 ページ - Sont compétents à célébrer les mariages, tous prêtres, curés, ministres et autres fonctionnaires autorisés par la loi à tenir et garder registres de l'état civil.
287 ページ - Quant au législateur, son action auraitle triple inconvénient d'être injuste, tyrannique et absurde. » Si l'être moral appelé Église a droit d'exister comme société spirituelle, il est évidemment capable de posséder. Le simple énoncé de cette proposition suffit pour la démontrer. Tout être physique ou moral a droit de chercher à atteindre la fin pour laquelle il existe. La loi qui reconnaîtrait une corporation utile et lui refuserait les moyens nécessaires pour exister, serait absurde....